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Oyaris C. AllensHabitant·e d'Adamantia
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❝as the room filled
up with smoke
ft. mora megistus - EVENT / 23.03.2024
Un instant, il n’y avait que le picotement désagréable ne quittant pas mon poignet. Un instant, il n’y avait que les pensées parasitaires qui m’accompagnaient constamment ((meera, neffy, eight, mora, pièces brisées d’un tableau qui aurait dû trôner au milieu de mon esprit ; dommages collatéraux de mes excentricités)). Un instant, c’était la routine, le travail, Miroir parti pour le Solem, l’antidote terminé et mes propres créations finalisées ; recherches poursuivies pour toujours comprendre davantage.
Et l’instant d’après, le chaos s’était installé ; hurlements à l’extérieur, grognements, grondements, cris provenant des cages, et le bruit régulier des appareils complètement arrêté pour ne laisser que le vacarme d’une catastrophe. Et à mes oreilles, le bourdonnement incessant des battements de mon cœur, un sifflement qui enterre tous les autres bruits, ma respiration saccadée alors que je me relève, désorienté, essayant de comprendre ce qui vient tout juste de se produire. En vain.
Cligner de la paupière plusieurs fois, inspirer profondément – tenter, tenter de prendre conscience des événements des dernières … minutes ? secondes ? combien de temps s’est-il écoulé ? Difficilement, se relever en s’appuyant sur la paillasse intacte, ayant résisté à l’onde de choc, contrairement à nos appareils. Putain, ça va coûter une fortune à réparer ou remplacer. Un, deux, trois, compter les pas. Retourner aux habitudes quand tout semble s’effondrer ; c’est tout ce qui me permet de tenir et d’avancer, mes tempes élancent, une pression grandissante les écrase. C’est tout ce que je ressens, au travers la cacophonie de mon rythme cardiaque peu régulier, de ma respiration tout aussi perturbée. Un, deux, trois. OK. Je suis debout. Maintenant, on regarde autour. C’est le bordel. Les appareils ont court-circuité. J’entends des cris et des grognements inquiétants provenant de l’avant et de l’arrière, les incubateurs sont tombés. Nos réfrigérateurs aussi. Les congélateurs tiennent toujours debout, mais ils ne sont plus fonctionnels, pas plus que notre chromatographe. Fuck.
La lumière de mon téléphone agresse ma pupille ((il fait sombre, les lumières ne fonctionnent plus, comment j’ai fait pour ne pas le réaliser avant ?)) alors que le poste de radio que je viens d’allumer parle d’attaques. New Pyra. Comme Romeo me l'avait dit. Et puis le laboratoire. Les théories me passent par-dessus la tête, ce n’est pas important. J’éteins. Je dois me concentrer. Je dois me concentrer, c’est important, ((je dois me concentrer)) les pensées s’éparpillent. Mora. « Flare, Crow, retrouvez Mora et ramenez-la ici ! Je vais aller chercher les Pokémon ! » les remettre dans leurs pokéball et après, après on avisera. Le doigt appuyé sur la fonction « message vocal », j’en envoie plusieurs. Vlinder (encore), Zamas, Meera. Et Neffy, Neffy, c’est un message texte.
Et c’est un apaisement, cette réponse. Rapide, vive. Immédiate. Un réconfort, parce que la suite des événements, personne ne la connaît. Bordel, je suis crevé. Non, se concentrer. OK, les messages sont envoyés, Flare et Crow cherchent Mora, maintenant, les Pokémon. Les obscurs, pour commencer, avant qu’ils ne trouvent le moyen de s’échapper de leur cage. La douleur résonne, je ne sais pas d’où elle vient, je dois l’ignorer. Ce n’est pas important. Ce n’est jamais important, ce n’est que moi. Il faut sauver les Pokémon. « Mora ? Je suis avec les Pokémon ! » L’odeur du feu me prend à la gorge et au nez quand je cris, provoquant une violente quinte de toux. La fumée est partout, j’aurais dû la voir. Se concentrer. Tout est mélangé, tout se bouscule, s’égare. Se concentrer. J’attrape le sac avec les sphères et j’entre dans la pièce avec nos sujets d’essais, immédiatement accueilli par un Flamiaou enragé, verrou complètement détruit. « Putain ! » ((vite, trouve la pokéball)) mais les crocs dans le poignet et la douleur et « Mais tu saoules ! » .
Je dois trouver les bonnes pokéball pour les Pokémon (si j'arrive à le faire lâcher, fastidieuse tâche, mais je n’abandonnerais pas. Je n’ai pas le droit d’abandonner. Abandonner ici, c’est comme les abandonner eux, et tous ceux qui comptent sur moi ((je n’ai pas le droit)) ne jamais abandonner parce que je suis le roc, le pilier, le phare dans la tempête. Et je dois le rester.
Et l’instant d’après, le chaos s’était installé ; hurlements à l’extérieur, grognements, grondements, cris provenant des cages, et le bruit régulier des appareils complètement arrêté pour ne laisser que le vacarme d’une catastrophe. Et à mes oreilles, le bourdonnement incessant des battements de mon cœur, un sifflement qui enterre tous les autres bruits, ma respiration saccadée alors que je me relève, désorienté, essayant de comprendre ce qui vient tout juste de se produire. En vain.
Cligner de la paupière plusieurs fois, inspirer profondément – tenter, tenter de prendre conscience des événements des dernières … minutes ? secondes ? combien de temps s’est-il écoulé ? Difficilement, se relever en s’appuyant sur la paillasse intacte, ayant résisté à l’onde de choc, contrairement à nos appareils. Putain, ça va coûter une fortune à réparer ou remplacer. Un, deux, trois, compter les pas. Retourner aux habitudes quand tout semble s’effondrer ; c’est tout ce qui me permet de tenir et d’avancer, mes tempes élancent, une pression grandissante les écrase. C’est tout ce que je ressens, au travers la cacophonie de mon rythme cardiaque peu régulier, de ma respiration tout aussi perturbée. Un, deux, trois. OK. Je suis debout. Maintenant, on regarde autour. C’est le bordel. Les appareils ont court-circuité. J’entends des cris et des grognements inquiétants provenant de l’avant et de l’arrière, les incubateurs sont tombés. Nos réfrigérateurs aussi. Les congélateurs tiennent toujours debout, mais ils ne sont plus fonctionnels, pas plus que notre chromatographe. Fuck.
La lumière de mon téléphone agresse ma pupille ((il fait sombre, les lumières ne fonctionnent plus, comment j’ai fait pour ne pas le réaliser avant ?)) alors que le poste de radio que je viens d’allumer parle d’attaques. New Pyra. Comme Romeo me l'avait dit. Et puis le laboratoire. Les théories me passent par-dessus la tête, ce n’est pas important. J’éteins. Je dois me concentrer. Je dois me concentrer, c’est important, ((je dois me concentrer)) les pensées s’éparpillent. Mora.
23 mar. 2024 - 12:48
I know you're still mad at me, with reason. But just know you're important to me and I love you. No matter what.
je t’aime moi aussi Oya, même si je suis fâchée
Et c’est un apaisement, cette réponse. Rapide, vive. Immédiate. Un réconfort, parce que la suite des événements, personne ne la connaît. Bordel, je suis crevé. Non, se concentrer. OK, les messages sont envoyés, Flare et Crow cherchent Mora, maintenant, les Pokémon. Les obscurs, pour commencer, avant qu’ils ne trouvent le moyen de s’échapper de leur cage. La douleur résonne, je ne sais pas d’où elle vient, je dois l’ignorer. Ce n’est pas important. Ce n’est jamais important, ce n’est que moi. Il faut sauver les Pokémon.
Je dois trouver les bonnes pokéball pour les Pokémon (si j'arrive à le faire lâcher, fastidieuse tâche, mais je n’abandonnerais pas. Je n’ai pas le droit d’abandonner. Abandonner ici, c’est comme les abandonner eux, et tous ceux qui comptent sur moi ((je n’ai pas le droit)) ne jamais abandonner parce que je suis le roc, le pilier, le phare dans la tempête. Et je dois le rester.
(c) TakeItEzy pour Be.Wild
Dernière édition par Oyaris C. Allens le Jeu 2 Mai - 7:03, édité 4 fois
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- Ensemble des clichés complétés02-01-50-VITAMINEPermet la conception d'UNE VITAMINE par mois.03-01-50- LENTIS-POKÉBALLPermet la conception de TROIS POKÉBALLS par mois.01-01-50- LENTIS-POTIONPermet la conception de UNE POTION par mois01-02.2-100- LENTIS-JARDINAGEPermet de JARDINER deux fois par mois01-03-100- LENTIS-APPARITIONPermet de choisir le TYPE DU POKÉMON au moment de L'APPARITION.01-04.1-150- LENTIS-OBJ-ROUGESOffre 25% DE RABAIS sur les OBJETS ROUGES en magasin (Permanent)01-05-200- LENTIS-INTER-ÎLESOuverture des frontières. Possibilité de CAPTURER SUR TOUTES LES ÎLES.01-06.1-250- LENTIS-FUITEAugmente le taux de fuite à 20 en zones vertes, 13 en zones orange et 9 en zones rouges.01-07.1-325- LENTIS-CUISINE-EXPPermet de CUISINER afin de gagner de L'EXP01-08-400- LENTIS-REPRODUCTIONDonne accès à la REPRODUCTION.
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Mora MegistusHabitant·e d'Anthos
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Playing with fire
ft. Oyaris Allens
Ciel Obscur
Moy : 20
23 mars 2024
Tout s’est passé si vite.
Une explosion, puis deux, et les meubles qui vibraient (le réfrigérateur qui tombe sur le côté). D’un bond, je m’étais levée, surprise par ce qui avait pu causer un si gros boom. J’aurais sûrement préféré ne pas le savoir, au fond.
L’électroménager n’était rien comparé à ce qui se passait à l’extérieur.
Il y avait des gens qui criaient, des gens qui fuyaient, tentaient désespérément d’aller se réfugier à l’intérieur - pendant ce temps, j’essayais de m’en échapper.
C’était l’alarme qui s’était déclenchée, et boom le deuxième électroménager qui s’empile sur le premier, m’empêchant de sortir. Devant moi, les flammes s’étendaient déjà.
Sans issue
Essayer de passer par-dessus (non), en-dessous (oublie), sur le côté peut-être (c’est trop gros). Accotée au coin du mur, la chaleur devient de plus en plus intense, la fumée m’empêche de voir où se trouvait la sortie d’urgence. J’étais (je suis) complètement déboussolée. Je fixe par terre, les plats qui s’étaient déversés sur le sol, la table qui avait craqué sous le poids, et il fait de plus en plus chaud. “Oy-” tousse, ouvrir la bouche et la refermer aussitôt, la fumée n’avait pas attendu pour s’interposer, provoquer une quinte de toux. Ok, ok. Calme-toi. Je dois seulement, seulement ralentir ma respiration… Mais, mais ça vient m’irriter l’intérieur de la gorge, passer par mes narines pour rejoindre mes poumons, causer une nouvelle quinte de toux (je ne vois plus rien). Il n’y a que le orange, le rouge, le noir du feu et de la fumée devant moi (ils détruisaient tout).
Il fait chaud.
Il fait chaud.
Il fait chaud.
Fermer les yeux, je tente une nouvelle fois de me pencher, passer entre ce qui reste de la table et les frigos et j’y arrive, j’y arrive ! (non). Cruel retour à la réalité, de cette braise qui vient envelopper ma jambe aussitôt Aïe et reculer aussitôt, retirer mon veston et tapoter pour éteindre les flammes qui étaient maintenant sur mon mollet. Et la chaleur intense, partout sur ma jambe et je sens la peau brûler, les tissus qui sont abîmés.
J’ai mal.
J’ai mal.
J’ai mal.
Et puis, entendre ta voix au loin (d’où vient-elle ?), je tente de savoir d’où elle vient, me tournant un peu partout, en vain. Ouvrir la bouche pour crier ton nom, mais c’est une nouvelle quinte de toux qui fait son apparition à chaque fois que j’essaie, et mon cœur qui bat de plus en plus face au danger, je suis prise au piège. Je dois me reculer, tenter de prendre le moins de plus possible et attendre, espérer. Je sais que tu es là, tu ne tarderas pas à arriver.
Une explosion, puis deux, et les meubles qui vibraient (le réfrigérateur qui tombe sur le côté). D’un bond, je m’étais levée, surprise par ce qui avait pu causer un si gros boom. J’aurais sûrement préféré ne pas le savoir, au fond.
L’électroménager n’était rien comparé à ce qui se passait à l’extérieur.
Il y avait des gens qui criaient, des gens qui fuyaient, tentaient désespérément d’aller se réfugier à l’intérieur - pendant ce temps, j’essayais de m’en échapper.
C’était l’alarme qui s’était déclenchée, et boom le deuxième électroménager qui s’empile sur le premier, m’empêchant de sortir. Devant moi, les flammes s’étendaient déjà.
Sans issue
Essayer de passer par-dessus (non), en-dessous (oublie), sur le côté peut-être (c’est trop gros). Accotée au coin du mur, la chaleur devient de plus en plus intense, la fumée m’empêche de voir où se trouvait la sortie d’urgence. J’étais (je suis) complètement déboussolée. Je fixe par terre, les plats qui s’étaient déversés sur le sol, la table qui avait craqué sous le poids, et il fait de plus en plus chaud. “Oy-” tousse, ouvrir la bouche et la refermer aussitôt, la fumée n’avait pas attendu pour s’interposer, provoquer une quinte de toux. Ok, ok. Calme-toi. Je dois seulement, seulement ralentir ma respiration… Mais, mais ça vient m’irriter l’intérieur de la gorge, passer par mes narines pour rejoindre mes poumons, causer une nouvelle quinte de toux (je ne vois plus rien). Il n’y a que le orange, le rouge, le noir du feu et de la fumée devant moi (ils détruisaient tout).
Il fait chaud.
Il fait chaud.
Il fait chaud.
Fermer les yeux, je tente une nouvelle fois de me pencher, passer entre ce qui reste de la table et les frigos et j’y arrive, j’y arrive ! (non). Cruel retour à la réalité, de cette braise qui vient envelopper ma jambe aussitôt Aïe et reculer aussitôt, retirer mon veston et tapoter pour éteindre les flammes qui étaient maintenant sur mon mollet. Et la chaleur intense, partout sur ma jambe et je sens la peau brûler, les tissus qui sont abîmés.
J’ai mal.
J’ai mal.
J’ai mal.
Et puis, entendre ta voix au loin (d’où vient-elle ?), je tente de savoir d’où elle vient, me tournant un peu partout, en vain. Ouvrir la bouche pour crier ton nom, mais c’est une nouvelle quinte de toux qui fait son apparition à chaque fois que j’essaie, et mon cœur qui bat de plus en plus face au danger, je suis prise au piège. Je dois me reculer, tenter de prendre le moins de plus possible et attendre, espérer. Je sais que tu es là, tu ne tarderas pas à arriver.
Équipe active
-->
Khélocrok ☆ (Myrtle)
Lvl 27 [0/10]
Talent : Coque armure
Tient : Aucun objet
Skélénox (Scoliose)
Lvl 17 [0/10]
Talent : Lévitation
Tient : Évoluroc
Macronium (Laurel)
Lvl 22 [0/10]
Talent : Engrais
Tient : Herbe Pouvoir
Ronflex ☆ (Buu)
Lvl 21 [0/10]
Talent : Isograisse
Tient : Baie Abriko
Étourvol (Starscream)
Lvl 15 [0/10]
Talent : Regard Vif
Tient : Aucun objet
Pokémon6
Lvl 15 [5/10]
Talent : ici
Tient : Objet
HRP
~
Niveau de capture de 25
( moyenne équipe : 20)
Température : Neige
Objets au début du post : 36 pokéballs, 3 potions, 1 total soin, 1 corde sortie
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- Ensemble des clichés complétés03-01-50- LENTIS-POKÉBALLPermet la conception de TROIS POKÉBALLS par mois.03-02.2-75- LENTIS-OBJ.ÉVOLUTIFPermet la conception d'UN OBJET ÉVOLUTIF par mois.03-03-100- LENTIS-APPARITIONPermet de choisir le TYPE DU POKÉMON au moment de L'APPARITION.03-04.3-150- LENTIS-BALLSOffre 50% DE RABAIS sur toutes les BALLS en magasin (Permanent)03-05-200- LENTIS-INTER-ÎLESOuverture des frontières. Possibilité de CAPTURER SUR TOUTES LES ÎLES.03-06.2-275- LENTIS-POKÉMONPermet de faire apparaître UN POKÉMON AU CHOIX par mois.03-07.2-325- LENTIS-PRIME-EXPPermet de gagner de L'EXP lors de la résolution d'une Recherche02-01-50-VITAMINEPermet la conception d'UNE VITAMINE par mois.
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ft. mora megistus - EVENT / 23.03.2024
La fumée s'infiltre dans mes poumons, vicieuse ((souvenirs, échos douloureux ma faute mais cette fois ce ne l'était pas)) et quinte de toux violente, brutale, qui arrache un cri plaintif aux côtes. Elles ne me font plus mal au quotidien, mais quand je force trop, elles ne se gênent pas pour me rappeler décembre. Décembre et elle et putain, putain, faites qu'elle ne soit ni à New Pyra ni proche du laboratoire et Mora, Mora je dois aller la trouver. ((Eagle qui ne répond pas)) Eagle qui ne répond pas. Ni à Romeo, ni à moi. Silence insupportable. Mais déjà, le faire lâcher mon putain de bras ! La douleur s'enracine dans mes muscles. Et la colère partagée entre nous deux, lui contre moi et moi contre lui, lâche-moi. Le fracasser contre le mur. Encore. Et. Encore. Ne sentir que ses crocs qui se referment. Les étourdissements empirent, prennent un peu plus d'ampleur et la toux qui revient. Putain, mais tu vas me lâcher oui ?
C'est Spores qui sort, paniqué, de mon bureau, traînant sur sa tête ma veste et arrivant essoufflé. C'est Spores qui balance Onde Folie contre le félin, ce qui le fait lâcher prise enfin. Rapidement, sans lui offrir l'occasion de réfléchir davantage, le rappeler à sa Pokéball et souffler un merci au Spododo que je prends dans mes mains ((enfiler ma veste, en abandonnant le sarrau)) et attraper la sphère métallique de Spores pour l'y ramener. Le protéger.
Le téléphone vibre. 12h55. Déjà ? Dix minutes se sont écoulés déjà ? Quand est-ce que j'ai envoyé le message vocal, moi ? Ce que la tête bourdonne... ((Meera)) même si les gaz continuent de se propager, s'échapper, des flammes ardentes qui consument le bâtiment ; le soulagment agit comme un bain de glace. Meera appelle. Meera appelle et si elle appelle, c'est qu'elle est suffisamment en sécurité pour se le permettre. Décrocher sans perdre une seconde supplémentaire. Entendre sa voix est si doux. Si rassurant. Thanks Arceus qu'elle est quelque part à Verpré, mais pas au laboratoire ((Romeo ne répond plus)) — je pourrais l'écouter parler pendant une éternité je crois, pour me convaincre que tout va réellement bien de son côté.
« Meera ! Thanks Xerneas. Oh I'm so glad to hear your voice, fuck wait - » Étirer le plus possible les doigts pour rattraper la Pokéball, en vain. Rapidement, je me penche pour la récupérer et y enfermer une créature. Les Obscurs sont faits. Plus de risqué qu’une de ces sales bestioles decide que je suis un festin. « ok I'm here, I wouldn't exactly say safe. I'm inside the lab, it's chaotic. All the Pokemon are in danger. The lab blew up. » Paroles précipitées déversant les pensées sans structure prédéfinie, seulement balancer les informations. Les Pokémon d'études maintenant. Et l'écouter. L'écouter, me concentrer sur sa voix. Plutôt que sur la douleur. Ou le bourdonnement. Ou le chaos. Sa voix. Tendre l'oreille.
« I think - » ((Penser se révèle si compliqué)) « I think - there's lot of sounds outside if they are real so I think there's already people trying to get people away. Stay away from the lab, okay ? For me. And stay alive. Please. When I'm out and away I'll call you again, so we can we can find each other » Ce que la tête élance. Et le bras aussi. Sa voix. Il y a tellement de bruits partout. Ramasser l'ensemble des Pokémon et les balancer dans mon sac. Rester en sécurité qu'elle demande. Mon regard se pose partout sur le laboratoire en ruines et flammes puis sur mon bras... un peu tard je crois. Tiens, on devait pas se rejoindre après le boulot ? « I'll try. There's a new restaurant in town, what do you think of trying it after » Son rire résonne et je crois que je pourrais raconter n'importe quoi pour l'entendre encore. Il change du carnage environnant et fournit une ancre. Je faisais quoi, moi, déjà ?
Récupérer les Pokémon et m’évader du laboratoire en un seul morceau, comme elle me l’indique au bout du fil. Est-ce qu’une morsure compte comme plusieurs fragments ? J’espère pas. ((Et retrouver Mora, surtout, retrouver Mora avant de foutre le camp d’ici)) I don’t wanna distract you any longer et be careful suivis de la tonalité indiquant qu’elle a raccroché. Se concentrer. L’envie de simplement m’allonger et m’endormir m’ébranle ; lutter contre la fatigue. Je glisse mon portable dans ma poche et attraper la bandoulière de mon sac pour se précipiter à la salle de pause. C’est là que Mora est. Enfin, c’est là que je l’ai vu pour la dernière fois.
((Et c’est le chaos)) difficile d’y voir quelque chose au travers l’épaisse couche de fumée qui règne, qui s’infiltre partout, annonce la condamnation ((non, nous allons sortir de là)) et te chercher, te chercher, frénétiquement du regard, essayer de percer les émanations pour te repérer. « Flare ! » Indique-moi où vous êtes. Le glapissement de ma Pyroli résonne, me guide au travers le carnage ― un pas après l’autre ― respirer s’avère ardu, mes poumons brûlent, ma gorge brûle ((l’inconscience d’antan en arrière-plan, mais je resterais présent aujourd’hui, aucune autre alternative n’est acceptable)). Coincée. Tu es coincée. « Fuck, fuck, fuck » Les mots se bousculent et je m’étouffe ; toux sèche et violente qui pousse mon cœur à tambouriner à mes tempes douloureusement. Je n’ai pas été assez rapide. Merde. Merde. OK. Te sortir de là. Je les échappe presque, les Pokéball, quand je cherche celle d’Anthurium, mais j’y arrive ((heureusement, j’ai déjà merdé à ne pas arriver plus tôt)) « Siphon. » Un seul mot parvient à s’évader, mais l’étrange Cadoizo comprend et réagit immédiatement, balançant un vortex d’eau devant nous, avant qu’il ne se décide de frapper les électro-ménagers de sa tête, les renversant en libérant le passage vers toi ((enfin)). Se tourner vers Crow. « Tranche-nuit sur mon chandail. » ((Aller droit au but parce que chaque mot me rappelle que nous sommes encerclés d’une fumée si dense et asphyxiante)) et le Corboss qui s’exécute, libérant un large morceau de tissu que j’humidifie à l’aide d’Anthurium.
« Mets ça devant ta bouche. » et te tendre la main ((du bras qui n’a pas servi de repas à un obscur)) pour t’aider à te relever « on va rester accroupi » parce que l’air chaud et les volutes s’envolent, laissant l’espace proche du sol plus libre.
C'est Spores qui sort, paniqué, de mon bureau, traînant sur sa tête ma veste et arrivant essoufflé. C'est Spores qui balance Onde Folie contre le félin, ce qui le fait lâcher prise enfin. Rapidement, sans lui offrir l'occasion de réfléchir davantage, le rappeler à sa Pokéball et souffler un merci au Spododo que je prends dans mes mains ((enfiler ma veste, en abandonnant le sarrau)) et attraper la sphère métallique de Spores pour l'y ramener. Le protéger.
Le téléphone vibre. 12h55. Déjà ? Dix minutes se sont écoulés déjà ? Quand est-ce que j'ai envoyé le message vocal, moi ? Ce que la tête bourdonne... ((Meera)) même si les gaz continuent de se propager, s'échapper, des flammes ardentes qui consument le bâtiment ; le soulagment agit comme un bain de glace. Meera appelle. Meera appelle et si elle appelle, c'est qu'elle est suffisamment en sécurité pour se le permettre. Décrocher sans perdre une seconde supplémentaire. Entendre sa voix est si doux. Si rassurant. Thanks Arceus qu'elle est quelque part à Verpré, mais pas au laboratoire ((Romeo ne répond plus)) — je pourrais l'écouter parler pendant une éternité je crois, pour me convaincre que tout va réellement bien de son côté.
Récupérer les Pokémon et m’évader du laboratoire en un seul morceau, comme elle me l’indique au bout du fil. Est-ce qu’une morsure compte comme plusieurs fragments ? J’espère pas. ((Et retrouver Mora, surtout, retrouver Mora avant de foutre le camp d’ici)) I don’t wanna distract you any longer et be careful suivis de la tonalité indiquant qu’elle a raccroché. Se concentrer. L’envie de simplement m’allonger et m’endormir m’ébranle ; lutter contre la fatigue. Je glisse mon portable dans ma poche et attraper la bandoulière de mon sac pour se précipiter à la salle de pause. C’est là que Mora est. Enfin, c’est là que je l’ai vu pour la dernière fois.
((Et c’est le chaos)) difficile d’y voir quelque chose au travers l’épaisse couche de fumée qui règne, qui s’infiltre partout, annonce la condamnation ((non, nous allons sortir de là)) et te chercher, te chercher, frénétiquement du regard, essayer de percer les émanations pour te repérer.
(c) TakeItEzy pour Be.Wild
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- Ensemble des clichés complétés02-01-50-VITAMINEPermet la conception d'UNE VITAMINE par mois.03-01-50- LENTIS-POKÉBALLPermet la conception de TROIS POKÉBALLS par mois.01-01-50- LENTIS-POTIONPermet la conception de UNE POTION par mois01-02.2-100- LENTIS-JARDINAGEPermet de JARDINER deux fois par mois01-03-100- LENTIS-APPARITIONPermet de choisir le TYPE DU POKÉMON au moment de L'APPARITION.01-04.1-150- LENTIS-OBJ-ROUGESOffre 25% DE RABAIS sur les OBJETS ROUGES en magasin (Permanent)01-05-200- LENTIS-INTER-ÎLESOuverture des frontières. Possibilité de CAPTURER SUR TOUTES LES ÎLES.01-06.1-250- LENTIS-FUITEAugmente le taux de fuite à 20 en zones vertes, 13 en zones orange et 9 en zones rouges.01-07.1-325- LENTIS-CUISINE-EXPPermet de CUISINER afin de gagner de L'EXP01-08-400- LENTIS-REPRODUCTIONDonne accès à la REPRODUCTION.
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