Mesure 1m89 s’il se tient droit ◊ Mais ne se tient jamais droit ◊ A une scoliose au niveau des 9 et 10e vertèbres ◊ Sent souvent le désinfectant ◊ Et l’odeur du labo ◊ Peau mate ◊ Cheveux brun foncé ◊ Rasés sur les côtés et longs sur le dessus ◊ Ne met pas de produits dessus ◊ Ces produits sont inflammables alors ce ne serait pas judicieux au labo ◊ Yeux aux reflets cuivrés ◊ Orangés avec la lumière ◊ A toujours des cernes sous les yeux ◊ Porte une moustache et une barbe très courtes ◊ Et des sourcils épais ◊ A un tatouage sur le bras gauche ◊ Il représente un Meganium avec des lianes enchevêtrées ◊ Outre sa blouse aux labos, porte des chemises légères, des vestes classes, généralement noires ou blanches ◊ Et des colliers en tout genre ◊ Parfois aussi des bracelets ◊ Et une boucle d’oreille à gauche ◊ Jamais de bijoux au travail évidemment ◊ A des manières qu’on qualifie d’efféminées ◊ Se ronge un peu les ongles et les petites peaux des doigts ◊ Met parfois un “vernis” amer pour se forcer à arrêter ◊ Sa peau est lisse et bien hydratée ◊ Utilise des lotions bio qu’il prépare lui-même

Fait de la paralysie du sommeil ◊ Boit cinq grandes tasses de café par jour ◊ Quand on le lance sur un sujet de pokémon, on ne l’arrête plus ◊ Ne supporte pas que son bureau soit mal rangé ◊ Ou qu’on touche à ses affaires ◊ Peut tout balancer par terre si un objet n’est pas à sa place ◊ pour tout ranger correctement ensuite ◊ Travaille parfois la nuit au labo ◊ Ou sur ses rapports depuis sa chambre ◊ S’intéresse beaucoup aux chromatiques ◊ Quand il aura fini ses recherches sur les Luminescents, il se penchera sur la chromaticité ◊ Aime les phénomènes du ciel : aurores boréales, arcs-en-ciel, nuage irisé, spectre de Brocken… ◊ A peur des enfants ◊ Surtout de les tenir dans ses bras ◊ Est-ce que ça peut casser ? ◊ A le vertige ◊ Et est claustrophobe ◊ Il ne montera jamais dans un ascenseur ◊ A pleuré quand il a fait faire son tatouage ◊ Tient un blog de vulgarisation scientifique sur des facts pokémons ◊ Aimerait trouver l’amour, un jour ◊ Est très romantique, en tout cas essaie ◊ Mais n’est pas le plus doué en codes sociaux ◊ N’a jamais eu une relation de plus de quelques mois ◊ Sinon, célibataire c’est bien, ça permet de se consacrer pleinement au travail ◊ (essaie de s’en convaincre) ◊ A des posters de ciel d'orage dans sa chambre ◊ Et une maquette du système solaire qui pend au plafond ◊ Tombe toujours malade lorsqu’il prend un congé ◊ N’a jamais passé des vacances sans un rhume

Sunshine

Mime Jr.

Mâle

Souriant

Lui, c’est Sunshine. C’est un pokémon souriant, comme toi, sauf que lui ne semble pas faire de cauchemars. Il vit un peu à ton rythme et se réveille la nuit, et fait des siestes lorsque tu travailles. Il est toujours là à essayer de t’imiter ; à essayer de faire le pitre pour faire rire les autres ; à essayer de se faire remarquer. (un peu comme toi, même si tu ne l’avoues pas, tu aimes avoir l’attention sur toi lorsque tes expériences se terminent avec des résultats positifs).
Lui, c’est Sunshine – il est venu à ta rencontre dans le parc, imitant tes pas ; il t’a suivi jusqu’à chez toi et il est resté, simplement.

Lui, c’est Sunshine ; un rayon de soleil dans les nuits trop sombres, un éclat de lumière qui rappelle à tous ceux qui le regardent que la vie peut aussi, parfois, être si lumineuse.

Tell me something about you

COMMENT PERÇOIS-TU LA SOCIÉTÉ SUR TON ÎLE/SUR LENTIS? Lentis, c’est merveilleux. C’est un archipel incroyable situé à un endroit où les phénomènes atmosphériques et météorologiques ont façonné le paysage. C’est grâce à ces dépressions, à ces failles sismiques, à ces courants océaniques que ces îles aux climats si différents ont pu voir le jour. Et puis il y a les pokémons ; c’est le seul endroit dans le monde où il y a autant d’espèces réunies, probablement grâce à la diversité des climats et des biotopes.
Et puis –
Au milieu de tout ça il y a les humains. Tous ceux qui ont débarqué ici en explorateurs ou en aventuriers, ceux qui sont venus là pour échapper à leur passé. Tous ceux qui constituent cette société.

Si tu devais donner ton avis, le véritable avis, parler sans aucun filtre ; tu dirais que ces humains n’ont pas grand chose à faire ici. Lentis, c’est quelque chose qui les dépasse, c’est quelque chose qu’ils ne devraient pas essayer de maîtriser et encore moins de piétiner. Si tu devais donner ton avis, tu dirais qu’il faudrait juste quelques scientifiques, quelques explorateurs, juste ce qu’il faut pour percer les mystères de l’archipel parce que tu es certain que le monde pourrait connaître une avancée majeure en étudiant les phénomènes qui se passent ici ; quelques bases éparses, mais pas d’endroit où y vivre parce que Lentis n’est pas fait pour qu’on y vive. À Lentis, on peut espérer survivre, tout au plus – mais pas vivre.

Doute beaucoup ◊ En deuil ◊ Émotif ◊ Organisé ◊ Perfectionniste ◊ Pointilleux ◊ Très pointilleux ◊ Persévérant ◊ Têtu ◊ Honnête ◊ Autonome ◊ Ambitieux ◊ Aime la propreté ◊ Souriant ◊ Mais ses yeux ne sourient pas ◊ Toujours trop d’idées ◊ Passionné ◊ Poli ◊ Dynamique ◊ Manque de confiance en lui ◊ Solitaire

Lettre datée du lundi 24 avril – mais c’était sans doute dans la nuit du 24 au 25. Tu as écrit cette lettre après un cauchemar ou une insomnie, alors que la culpabilité te rongeait et que les larmes coulaient sans que tu ne puisses les contrôler. Tu avais, d’ailleurs, la sensation désagréable de ne rien pouvoir contrôler à cet instant. Les mots semblent déformés, comme si tes mains tremblaient trop pour pouvoir écrire correctement ; ou alors le rideau de larmes t’empêchait de voir correctement. Cette lettre ressemble à toutes les autres – prisonnier de ce deuil et de cette culpabilité dont tu n’arrives pas à te défaire. Tu tournes en rond, tu restes bloqué là-dessus mais tu refuses de voir un psy, parce que la journée tu as l’impression d’aller mieux et que tu arrives à sourire. Tu arrives à être toi-même, l’âme libérée de ses tourments, lorsque ton attention est portée sur tes expériences minutieuses que tu es le seul à pouvoir réaliser dans le labo. Tu as ce quelque chose – tes mains ne tremblent jamais lorsque tu manipules, tu arrives toujours à mettre ce qu’il faut à la goutte près, au millième de gramme près, c’est prodigieux. Peut-être que tu as ça dans le sang, ou bien est-ce simplement parce que tu t’entraînes depuis le plus jeune âge.

Revenons-en à cette lettre – qui montre dans toute ta splendeur qui tu es.

« Pourquoi, Papy, pourquoi ? Personne n’avait besoin d’aller aussi loin. Dis-moi, et toi, et toi qu’est-ce que tu aurais fait à ma place ? … À leur place ? Je t’en supplie, dis-moi que tu n’es pas comme eux, dis-moi que tu n’aurais jamais pris ces mesures et que tu n’aurais pas fait une chose pareille.
Est-ce que tu les en aurais empêché à ma place ? Je suis désolé ; je suis faible, je ne suis personne, je ne suis rien. Sans doute ne suis-je pas digne d’être ton successeur et pourtant – pourtant il ne reste que moi. Je suis faible et lâche ; si je suis resté ce n’est pas pour tenter de réparer leurs erreurs, non, car leurs erreurs sont irréparables. Je suis resté parce que j’avais trop peur pour partir.

Papy, je suis terriblement désolé. J’aurais aimé pouvoir te dire que j’y arriverais, que je parviendrais à terminer tes recherches et à mener tes expériences à bien mais la vérité, c’est que je ne sais pas si j’en suis capable. Chaque jour je masque mes doutes et mes peurs derrière un sourire qui se veut confiant. Chaque jour j’ai peur de reproduire leurs erreurs et de m’enfoncer dans cette spirale qui ne rime à rien.
Pourquoi faut-il tant de souffrance pour parvenir enfin à faire avancer les recherches ?

Je n’ai jamais eu un sommeil de plomb et pourtant, aujourd’hui, derrière mes paupières closes dansent ces visages affreux : ma propre mère aux yeux vides et inexpressifs, cette femme hurlant de terreur et même, parfois, les pleurs d’un enfant qu’elle a laissé orphelin.

Mais maintenant que je suis là, je ne veux pas faire marche arrière – oh, si j’avais pu, j’aurais remonté le cours du temps pour changer ce qui n’aurait jamais dû être ; j’essaie de ne pas vivre dans le passé mais mes cauchemars m’y renvoient sans cesse. Je ne peux pas faire marche arrière et, pour toi, pour toutes ces recherches inachevées, je resterai jusqu’à la fin. J’aimerais te promettre que je réussirai ; avant je l’aurais fait, car j’étais jeune et que je pensais qu’aucun mur ne pouvait m’arrêter. Aujourd’hui je sais que ce n’est pas aussi simple et que, peut-être, j’échouerai ; la seule chose que je peux te promettre est que je ferai de mon mieux.

J’ai grandi en ne connaissant que cette voie-là et si je suis resté, c’est aussi parce que je sais que cette voie est la mienne, comme elle était la tienne. Lorsque je suis devant ces tubes à essais, devant la burette et les ampoules à décanter, lorsque je manipule les erlenmeyers, j’oublie un peu tout le reste et je me sens moi-même. Mon laboratoire, tous mes ustensiles, mon appartement, tout est tellement organisé et d’une propreté impeccable comme si j’essayais de mettre de l’ordre là où je le peux, de nettoyer tout ce que je peux – parce que dans ma tête c’est le chaos et je me sens si sale.

Pourtant, tu sais Papy, j’ai bon espoir. Mes recherches avancent bien et j’ai beaucoup de projets (il faudra que je te parle de mon blog qui commence à prendre de l’ampleur, mais une autre fois, sinon j’en ai pour encore cinq pages), beaucoup d’expériences à mener et d’hypothèses à tester. Lorsque mon esprit ne me renvoie pas aux horreurs auxquelles j’ai assisté sans rien faire, il pense à mille protocoles à la fois ; j’aimerais tout essayer, tout de suite, car je suis quelqu’un d’impatient – pourtant la patience est une qualité essentielle dans ce métier de chercheur. Mais j’aime, comme toi, les résultats concrets, le travail abouti et bien fait, les chiffres qui ne mentent pas et qui disent : “tu as réussi”.
Alors je prends mon mal en patience, et pas après pas, j’essaie d’avancer sur la voie que tu as commencé à dessiner et que, j’espère, je pourrai continuer à tracer. »

Pointilleux

Ambitieux

Passionné

Émotif

Détruit

Nous avons tous au fond du coeur... Un voyage à accomplir

La nuit ne laisse filtrer qu’un rayon de lumière venant de l’extérieur, rayon jaunâtre trop peu naturel, lampadaire blafard juste devant la maison. Couché dans ton lit, tu dors. Ou peut-être que tu ne dors pas ; tu ne sais plus. Tu entends les éclats de voix juste là derrière ta porte, les éclats de voix de cette femme qui est pourtant morte et tu sais que c’est impossible qu’elle soit chez toi ; tu le sais et pourtant tu l’entends. La porte grince ; des semelles dures claquent sur le parquet ; tu essaies de hurler, de te redresser, tu penses : « sortez de chez moi vous n’avez rien à faire là ! » mais aucun mot, aucun mouvement ne vient faire frémir ton corps étendu sur le matelas. Tu penses : « qu’est-ce que vous m’avez fait, pourquoi je ne peux pas bouger ? » et tes hurlements restent aussi silencieux que la nuit qui t’entoure. Tu les entends parler, cette femme morte, tes collègues, ta famille, mais eux ne font pas attention à toi. Tu continues à te débattre furieusement sans pouvoir bouger ; la panique fait battre ton cœur, prêt à exploser.
Et alors tout s’arrête, soudainement. En sueur, tu te redresses ; prends une inspiration ; regardes autour de toi. Il n’y a plus rien que ta porte fermée, ta chambre vide et la lumière pâle du lampadaire. Encore un cauchemar.

Tu ne comptes plus. Tu ne comptes plus le nombre de fois où tu as hurlé dans ton sommeil, le nombre de fois où tu as pensé hurler dans ton sommeil – crises de paralysie nocturne que même toi, l’illustre Docteur Miroir, ne peut pas faire disparaître.

D’aussi loin que tu te souviennes, tu as toujours eu des problèmes de sommeil. Insomnies, hyperactivité à trois heures du matin – c’est à cette heure-là que tu es le plus productif. Paralysie du sommeil, parasomnie, cauchemars.
Tu as toujours caché tout ça ; par fierté, peut-être.

•••

« Quand je serai grand, je serai comme Papy. Quand je serai grand, ce sera moi le meilleur ! »

De l’ambition, tu en as toujours eu. Dans ta chambre d’enfant, une vieille photo de ton grand-père trônait, comme un bien précieux que tu chérissais ; il a toujours été ton héros. Lorsque les autres enfants s’amusaient et s’extasiaient sur des choses sans importance , toi tu ne comprenais pas ; t’isolais du reste du monde pour lire des livres et pour comprendre ce qu’ils ne comprenaient pas et ce que tu ne comprenais pas. Comprendre les mystères de ce monde, répondre à tous tes pourquoi que les autres laissaient sans réponse.

« Quand je serai grand, je serai chercheur. »

Tu t’es accroché à cette idée, jour après jour, nuit après nuit. Il n’y avait pas d’autre option, il n’y avait pas d’autre chemin tracé pour toi. Tu mettais tes petites chaussures dans les empreintes de celles de ton grand-père.
Il n’y a pas d’autre voie.

Alors le matin en ouvrant les yeux tu laissais les cauchemars de la nuit s’effacer et tu travaillais, tu mettais tout ton cœur pour parvenir à ton rêve. Jour après jour – année après année. Jamais la lumière de ton rêve n’a faibli. Tu la voyais au bout du chemin, et elle se rapprochait peu à peu de toi, et la lumière grandissait ; n’était-ce qu’une impression ?

Quand je serai grand…

Et puis tu es devenu grand. Tu as décroché ces diplômes, mais tu voulais toujours plus. Tu pensais, à ce moment, pouvoir écraser les plus faibles pour parvenir à ton objectif : retrouver les pokémons Luminescents, reprendre les recherches de ton ancêtre, être vu comme le meilleur parce que tu étais le meilleur.
Personne ne t’avait confronté à ça. Personne ne t’avait dit que tu n’en serais pas capable, d’écraser qui que ce soit.

Personne ne t’avait dit que peut-être, parfois, les rêves devraient rester des rêves ; car lorsqu’on les atteint, il ne reste que les cauchemars.

•••

C’est un peu comme si ta mémoire avait effacé la plupart des événements qui ont conduit à ce désastre ; ne reste que des mots, des fragments, qui mis bout à bout ne donnent pas l’intégralité d’une scène – comme s’il manquait encore quelque chose dans cette histoire, un événement important mais pas assez important pour que l’histoire perde son sens. Tu te souviens de cette femme, scientifique renommée, très belle ; tu te souviens surtout de son regard, peut-être un brin effronté, ce regard qui disait “vous ne saurez rien”. C’est ce qu’ils disaient, ta famille – n’est-ce pas ? Elle savait des choses importantes et vous aviez besoin de ces informations-là.
Ensuite tout s’évapore ; comme si ces mois d’agonie n’avaient pas existé, comme si toutes les disputes n’avaient jamais été. Pourtant tu te souviens des éclats de voix, hargneux, agressifs, venimeux. De ce quelque chose bouillonnant qui attendait de faire imploser la famille Miroir. Tu te souviens de son regard fatigué et de la culpabilité qui te rongeait doucement.

Tu ne te souviens pas du jour où elle est morte – et tu ne te souviens pas non plus du jour où ils sont partis. Quand tes pensées te ramènent à cette période-là, c’est un sentiment de vide qui refait surface, un creux au milieu de ta poitrine qui menace de t’engloutir. Ce n’est qu’au cœur des cauchemars que les détails reviennent, et que la réalité te revient en pleine face.

Tu as écrit, par la suite, une quantité affolante de lettres à ton grand-père comme s’il allait pouvoir y répondre ; puis tu les as brûlées parce que les morts ne répondent pas aux lettres qu’on leur envoie. Pourtant, de temps à autre, tu continues à en écrire, au milieu de la nuit lorsque la lune est la seule qui puisse te juger, de son silence glacial et lointain.

Oh... There are humans behind the screens?

Tu n'as rien à nous raconter?

OK alors, il était une fois Kayl qui renverse de l’acide dans un laboratoire, et qui troue sa blouse. Alors Kayl s’est dit : “je vais faire un perso dans un labo mais qui sera doué.” Et ainsi est né le Dr. Miroir jr jr.

Surnom/Pseudo : Kayl
Pronom(s) : Il, elle, iel, autre: Viens comme tu es! → Ben moi c’est “al”, oui je suis *différent·e*
Parrain : Toujours Lys
Comment nous as-tu découvert? : Lys

20/03/2022

Hola bonjour monsieur

(rebienvenue Listening to the sound of silence ~ Óscar S. Miroir 2675462704

)
Bon j'ai déjà eu l'honneur de lire la majorité de la prez, mais quand même, je vais te redire à quel point je l'aime Listening to the sound of silence ~ Óscar S. Miroir 2675462704

Je suis trop happy que t'ai pris ce scénar et ce que t'en as fait, Óscar est si bien et si... humain ? Je l'aime dans ses failles et ses paradoxes /out/ Par contre j'veux le hug quand même

Aaaaah j'ai trop hâte des starters

Et de le voir en jeu, ça va être trop cool de le suivre lui aussi **

21/08/2022

Oscar, jolem

hâte de voir les starters, et je le voir en jeu!

03/04/2022

Bienvenue !!!! olalalala quoi dire ! en plus d'être ultra beau goss, ton personnage est super intéressant ! Hâte de le découvrir en rp !

Coucou !
J'aimerais te demander pardon pour le délais, mais ... considérant que tu étais averti.e et qu'on s'était tous entendus pour te les donner aujourd'hui :doge:

Bref. Pas pardon.

Que dire ; je pourrais te balancer des évidences, te dire que Oscar est un personnage hyper touchant et que j'ai énormément d'affection pour ce que tu as fait de ce scénario - pour les idées que tu as développé tout autour et, surtout, pour toute l'humanité que tu lui as insufflé...
Mais bon, tu le sais déjà. Tout le monde te l'a dit.
(et si ce n'est pas le cas, alors je suis tout le monde.)

Je vais laisser ta propre présentation parler à ta place :

Personne ne t’avait dit que peut-être, parfois, les rêves devraient rester des rêves ; car lorsqu’on les atteint, il ne reste que les cauchemars.

Cette phrase putain.
Elle résume toute la qualité de tes écrits.

Bref, ça fait déjà un moment que tu attends tes starters - je pourrais dire beaucoup de choses, mais ... ... T'es à quelques mètres de moi donc ça me vole un peu mes mots.
Dernière chose ; je ne connais pas grand chose aux terreurs nocturnes, mais je trouve ta description et ta manière de les appliquer, interpréter, traduire extrêmement juste... Donc pour ça, chapeau.

Oscar est une perle de personnage.
Grave heureux de le voir enfin débarquer.

Bien le bonjour !
Il est temps de choisir ton starter...
Mime Jr. : Qui es-tu, au fond ? Qui es-tu derrière cette apparence de clown, ce sourire si faux, déguisement qui finit par te coller à la peau au point que tu ne saches plus l’ôter ? Qui es-tu derrière ce nom, Miroir, qui t’oppresse autant qu’il te porte ? Qui es-tu sinon la terrible copie d’un grand-père disparu, adulé, admiré et rêvé ; mais pas la copie conforme, non : pâle reflet fatigué et pétri de doutes, qui s’évertue encore et encore à lui ressembler alors que tu es forcément unique et différent. La copie parfaite n’existe pas, tu sais ? Même lui le sait, même lui sait que lorsqu’il s’inspire des autres et agit comme eux pour leur plaire, il n’est pas eux. Même lui sait qu’il est un junior, héritier d’un nom, d’une culture et de capacités, mais qu’il est bien loin de ressembler à ses aînés… Seulement capable de construire un mur — invisible, transparent, métaphorique — pour s'éloigner, s'échapper, ne pas se dévoiler, dès que les émotions font tanguer les sourires.

Petit être qui t’effraiera peut-être, mais ne t’inquiète pas : il est tout comme l’enfant en toi, recroquevillé au fond, celui qui s’émerveille d’un rien, s’enthousiasme de tout, hurle la nuit et copie les agissements des autres ; tentative parfois maladroite de comprendre des codes qu’il ne maîtrise pas.
Curiosité scientifique, double évolution possible mais dis-moi, toi, que seras-tu ? Resteras-tu entre tes murs invisibles, avec ce sourire rassurant mais si faux, ou apprendras-tu à danser, libre, assumé et confiant ?

Nucléos : Ta passion et tes démons, ta paix et tes peurs - trouveras-tu jamais le juste milieu, l'équilibre au fil de tes pas désordonnés ? Nucléos se tient loin des autres, loin des dangers, loin des prédateurs qui pourraient lui vouloir du mal ou des intérêts, barricadé dans ce fluide étrange dont on ignore exactement ce dont il se compose. On le suppose capable de décupler les facultés cognitives d'un humain, mais son caractère corrosif le rend impropre à la moindre utilisation sur le vivant. Drôle de créature susceptible d'attiser la curiosité d'un scientifique de ta trempe, la dualité des deux cerveaux de son être te le rend aussi semblable. Capable de réfléchir dans les antipodes, ce Pokémon est un peu comme toi, au fond : il oscille entre le jour et la nuit, les sourires diurnes et les terreurs nocturnes, la paix du labeur sous le soleil et les mensonges silenciés sous la lune blafarde. Du meilleur de la science jusqu'à son pire - tu as tout vu, tout vécu, tout maudit ou tout cautionné par ton silence ; et l'acidité de tes remords te ronge comme te rongerait celle de la matière dont il s'entoure... Ton coeur jeté au fluide caustique de tes regrets - combien de temps avant que tu ne te laisses complètement dévorer (ou que tu choisisses que c'en est assez, de se taire et d'accepter) ?

Cornèbre : Ce nom que tu portes... Il plane sur toi comme une malédiction, tu ne penses pas ? N'as-tu pas la sensation d'être un oiseau de mauvais augure, toi aussi, porteur de lourds secrets et de nouvelles glaçantes que tu n'oses pas révéler ? Mais dis-moi, n'est-ce pas trop violent à garder en toi ?
Il est le poids de tes secrets, il est la douleur tapie, il est la malédiction ou peut-être simplement la subit-il, lui aussi. Vous avez les mêmes cernes, la même tendance à l'insomnie, la même vie nocturne et le même regard plus épuisé que quiconque. Il porte la culpabilité en lui, lui aussi : il est incapable de pardonner quiconque et surtout lui-même.
Peu voient en lui l'être sensible et surtout artiste qu'il garde au fond de son cœur. Pourtant, il adore tout ce qui brille et accorde un grand sens à l'apparence et à l'esthétisme des accessoires qui l'accompagnent... Comme toi, n'est-ce pas ? Vous avez plus en commun qu'on ne pourrait le croire. Au fond, la sorcellerie n'est-elle pas seulement de la science qu'on ne comprend pas ? Tant de gens ont été condamnés parce qu' on ne comprenait tout simplement pas leur savoir... Mais la société ne change pas et si tu parles, ne penses-tu pas que tu serais voué au bûcher toi aussi ? Internet s'enflamme si vite.
A moins que tu n'apprennes à voler de tes propres ailes, comme lui, et que tu les déploies avec confiance et fierté, reprenant la place professorale et respectée de ton défunt grand-père. Alors, seras-tu la conscience de la science ou choisiras-tu seulement le pouvoir et l'argent du mafieux ?

Mysdibule : T'es tu déjà demandé comment ils te considèreraient s'ils savaient ?
S'ils comprendraient ou s'ils jugeraient - exposeraient ta double face et tous tes secrets.

Mysdibule et toi avez bien plus de points en commun que tu ne pouvais l'imaginer - une facette à montrer et une autre à dissimuler. Un masque de douceur versus une éternité de tourments ; de dents acérées. Oscar. Toi dont le nom est aimé et glorifié ; gravé de louanges et promis à la mémoire de tous ceux qui l'ont célébré.
(Si seulement ils savaient.)
Si seulement ils savaient (voyaient) qu'une fois que tu as le dos tourné, les fondements de ton identité sont beaucoup moins douces et lisses qu'ils se plaisent à l'imaginer... Les gens se leurrent à ton sujet ; ils t'idéalisent Miroir. Mais dis-moi, à l'instar de ceux qui hantent désormais tes cauchemars, comptes-tu mordre (dévorer) tous ceux qui accorderont en toi les prémices d'une confiance injustifiée ? (Tous ceux qui, sur ton chemin, feront l'erreur de ne pas se retourner ?)

Tic : Inséparables - ton travail et toi, les engrenages entre eux, tous deux, inséparables. Vous êtes inséparables. Construits minutieusement, chaque détail à leur place, pour que tout fonctionne parfaitement, adéquatement, tranquillement... sans aucun accroc, ils sont à ton image : minutieux et perfectionné, peut-être perfectionniste dans l'âme. Tic est l'inspiration même de la construction et l'élaboration de ces petites merveilles de l'ingénierie, domaine scientifique ; même si ce n'est pas le tien, alors peut-être que vous trouveriez quelques atomes crochues.
Leur fonctionnement n'a qu'un sens, prédiction aisée : toujours la même chose, encore et encore, ils répètent les mêmes gestes, le même sens, toujours la même direction. Et ton quotidien, Oscar, qu'est-il ? Encore et encore la même routine, quand le travail te permet d'oublier jusqu'à la solitude dans ton lit, quand tout t'envahit, que la culpabilité t'étreint et la chute violente.
Tic tourne éternellement dans le même sens - comme le temps, ce temps qui s'écoule et avance, les secondes du sablier qui tombent continuellement et ces années qui passent et passent, que tu voudrais remonter et modifier. Mais sais-tu ce qui arrive, Oscar, quand on tente d'inverser le trajet tracé d'un engrenage ? Déraillement et blocage. Abîmé, blessé, lessivé, tu ressors de ce roulement, mais tu es vivant Oscar, et peut-être qu'un jour, tu sauras composer avec cette connaissance avec une meilleure adresse, un réel sourire. Alors que le temps continuera son chemin vers l'avant.

03/11/2021

Le membre 'Aina-Kea Hauata' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'[CHROMA] 1/50' :
Listening to the sound of silence ~ Óscar S. Miroir O4viipE

07/05/2023

Bonsoir et déjà merci ça me réchauffe le cœur que vous aimiez mon petit Miroir comme ça car je l'aime tant moi aussi Listening to the sound of silence ~ Óscar S. Miroir 1f614

Listening to the sound of silence ~ Óscar S. Miroir 1f614

J'ai fini par choisir Mime Jr. car nous avons besoin de son sourire Listening to the sound of silence ~ Óscar S. Miroir 2675462704

mais bon y en a 2 que je peux avoir en Z1 et je vais essayer de soudoyer le staff pour avoir Nucléos en expé

(et Mysdibule bon je dois attendre la Z3 quoi /paf/ )

Ce fut un choix très très difficile à faire, ils étaient tous incroyables, ils ont tous fait mal à mon petit cœur et j'ai déjà soudoyé Lys pour me chercher Tic et je vais soudoyer je sais pas qui pour me chercher Mysdibule voilà car je les veux tous right now en starter

Du coup ma prez est terminée, j'ai ajouté Sunshine, aimez-le aussi il est joyeux on a tous besoin de sa joie Listening to the sound of silence ~ Óscar S. Miroir 2675462704

Coucou toi & pardon pour le temps que j'ai mis à passer ici !

Eh bien, ma foi, je m'y attendais pas. Je savais que tu l'avais beaucoup apprécié et que tu planifiais de le capturer, mais, toute franchise étant, je ne pensais pas que tu le prendrais en starter. Du coup, tout est beau pour moi, je te valide sans plus tarder

N.B j'vais éventuellement éditer avec le code de validation.

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