Menu

Fille des toits ; pardonne l'heure tardive pour un message. La nuit est-elle toujours conseillère ou le soleil s'est-il substitué aux étoiles ?

Bingo !

Ça m'arrive d'être poétique ~
Oh rien d'overly creepy tkt, just happen que j'avais posé mon menton sur l'épaule de ma soeur et qu'elle t'écrivait. J'ai reconnu ta photo.

Je me suis dis qu'on méritait de se parler autrement que dans le sang et les flammes.

Ça se voyait, en décembre. Tu apprends à utiliser le grondement du tonnerre et l'électricité des éclairs pour te propulser sur un chemin plus lumineux... pour venir en aide aux autres autrement que là-bas, sur les toits. Tu peux être fière de toi, tu sais ?

Tiens, tu connais comment Vlinder ?

Elles étaient à notre image.

Exactement, Allens ! Et moi, c'est Oyaris, enchanté Kiya. (Ouais y'avait ton nom sur la conv' ; joli nom)

Policière... elle m'en a parlé c'est vrai, tu as pu répondre à ses questions ? Je sais que parfois, elle parle beaucoup et très rapidement.

Ce n'est pas facile de redresser un monde dérangé. Mais tu le changes à chaque interaction. Parce que se concentrer sur la grande toile est décourageant, il faut regarder chaque petite rencontre. Les bonnes actions se propagent, autant que les mauvaises. Alors, quand tu choisis la lumière et le bien, tu leur permets de ricocher sur les autres, jusqu'à des personnes dont tu n'as aucunement conscience. Notre impact, on ne sait jamais jusqu'à où il s'étend.

Je n'ai pas prévu de t'appeler autrement que « fille des toits » ; nous choisissons notre réalité, ne l'oublies pas.

Mais je suis sincère, ton prénom est joli, la sonorité est légère et mélodieuse, sonne très bien aux oreilles. Comme une note d'une partition, parfaite harmonie avec le reste de la pièce.

Je l'espère. Elle le mérite.

Et je pense sincèrement que c'est le cas, que tu participes à rendre le monde plus beau à ton échelle, en aidant les plus démunis, en combattant ce qui doit l'être. Comme devant la serre, quand t'as tout donné pour sauver Adamantia, quitte à y laisser des morceaux. Toi aussi, tu vas aller loin. Tu as ce qui faut.

Étrangement, je ne croise pas tous les jours des jeunes dans des ruelles, sur le point de condamner leur avenir. Mais oui, j'essaie autant que je peux de pousser les gens à trouver et exploiter le meilleur d'eux-mêmes. Nous avons tous besoin de quelqu'un pour croire en nous.

C'est ce que j'ai fait pour les jumeaux toute leur vie. Ils s'en sont bien sortis, at the end of the day ; un est apprenti pompier et l'autre cherche désormais à devenir policière. Comment ça se passe à ton travail ?