Du haut de ses 1m75, Eight est d’une taille plutôt dans la moyenne. Cependant, son frère jumeau étant plus grand de trois centimètres exactement, il a un petit complexe de taille… Ce qui fait qu’il ne supporte pas être appelé plus petit, et encore moins lever la tête pour parler aux autres. Du coup, pour palier à ça, il porte souvent des talons. Enfin, non: Il porte tout le temps des talons. Et si vous lui faites une remarque… Il ne vous tapera pas, parce qu’il n’est pas violent en soit, mais il n’est pas une chaussure, alors ne soyez pas surpris si vous vous recevez le talon dans la face. ☆ Eight a des cheveux sombres aux reflets violacés, toujours propres, bien entretenus et bien coiffés. Ils étaient à une époque plus longs et épais, mais désormais des mèches droites les délimitent. ☆ Ses yeux sont fins, sombres, profonds - généralement hautains et haineux. La seule étincelle qui y brille est lorsqu’il trouve de quoi insulter les autres, un large sourire aux lèvres. Mais derrière cette unique étoile solitaire, c’est un vide qui se cache dans son regard - un trou noir qu’il compense en dévorant la lumière des autres. ☆ Eight porte en général des habits chics et beaux, pour attirer les regards. De belles chemises, des cols roulés, de tenues bien assorties. Il est un peu une fashion victim sur les bords. Chez lui, cependant, il restera en bon sweat large confortable et jogging… Mais il a une tenue chic accrochée à son entrée s’il reçoit de la visite. Ouais, on sait jamais. ☆ Il a une odeur qui rappelle à la fois le métal, la vapeur et le feu de bois. Mais, plus que tout, il sent les problèmes à des kilomètres.☆ Ses ongles sont en général longs et bien entretenus, parfois peints d’une couleur sombre.

S’est coupé les cheveux lui-même, pour ne plus ressembler à son frère ☆ Il connaît la plupart des constellations par cœur ☆ Les cycles lunaires, aussi, et même l’histoire de certaines planètes ☆ Milo lui a fait son modèle Vtuber ☆ Il l’a à peine remercié et l’a probablement sous-payé, mais Milo ne lui en veut pas ☆ A choisi le pseudo Orion, car la constellation contient 8 étoiles ☆ Déteste le monde entier ☆ N’a pas dit à sa famille qu’il était Vtuber ☆ Seven doit probablement le savoir cependant ☆ Milo est la seule autre personne qui sait, vu qu’il lui a fait le modèle ☆ Il lui a fait promettre de ne rien dire à personne ☆ N’utilise le pronom El qu’en tant que Vtuber, dira que c’est stupide si on lui demande en face ☆ Met parfois du maquillage because he’s worth it ❆ Et parce qu’il aime les regards ☆ Balancera le premier objet qui lui tombe sous la main à celui qui lui dira que c’est pour les filles ❆ Même si c’est une pokéball ou son propre Pokémon ☆ A déjà cassé son téléphone en le balançant à l’autre bout de la pièce. ☆ Des manettes aussi ❆ Et même un écran… Oui oui un écran. ☆ A réussi, on ne sait comment à tuer la faucheuse dans son jeu de Sims. ☆ Son jeu préféré est secrètement Animal Crossing, il le cache dans un coin de chez lui. ☆ Son livre préféré est Le Papillon des étoiles. ☆ A des stickers luminescents d’étoiles sur ses murs et à son plafond.

Betelgeuse

Loupio

Féminin

Affectueuse

Elle brillait. C’est son éclat qui avait attiré ton attention, un sombre jour. Si tu n’avais pas passé autant de temps à étudier les étoiles, tu aurais pu jurer que c’en était une tombée du ciel… Mais non. C’était bel et bien une pauvre petite créature sans défense, effrayée, frigorifiée, déshydratée.
Tu aurais pu la laisser là. Tu aurais pu détourner le regard et passer ton chemin. Après tout, tu déteste tout et tout le monde, non ? Incluant les Pokémon. Que pouvaient-ils t’apporter ? Qu’avaient-ils de plus ?
Mais tu ne sais pas. Il y avait quelque chose dans son regard, quelque chose dans ses lumières vacillantes qui t’avais touché. Qui t’étais familier. Qui t’avait appelé.
Tu ne pouvais pas laisser s’éteindre une étoile descendue sur terre.
Alors, tu l’avais aidée… Juste pour qu’elle vive, d’accord ? Juste pour que son éclat brille à nouveau. Tu l’avais hébergée quelques jours, dans un bocal - s’assurant qu’elle se remette. Te répétant que c’était débile, parce qu’elle partirait à la première occasion - comme les autres. Tu t’y étais préparé, même. Dès qu’elle était remise sur pied, tu l’avais amené à l’eau pour la relâcher…
Mais elle s’était accrochée à toi. Et t’avais beau secouer ton bras dans tous les sens, elle ne le lâchait pas. Car pour elle, tu étais sa lumière. Et t’avais beau dire que c’était une nuisance, t’avais beau pester contre ce pot de colle… Eh bien, elle était la première à te voir, au moins.
Et de ses deux petites étoiles brillantes, parallèle à ta propre histoire, elle pouvait te guider en retour. Alors, depuis, elle est restée. Elle a son petit bocal, chez toi, mais en sors occasionnellement pour venir t’embêter, venir te sauter au visage, se blottir contre toi. Et à chaque fois, tu pestes contre son affection trop grande, tu dis qu’elle est dérangeante, tu la charries, la repousse. Mais au fond, elle fait lentement fondre la glace de ton cœur, elle guide ton petit cœur - et tu t’occupes bien d’elle.
Ta petite étoile personnelle.

Tell me something about you

COMMENT PERÇOIS-TU LA SOCIÉTÉ SUR TON ÎLE/SUR LENTIS? Que vous soyez Adamantois.e, Calléisien.ne, Haptais.e, Anthois.e, Kopadien.ne - Lentois.e ou non, Eight vous déteste. Ce n’est pas contre vous en particulier, c’est contre tout le monde. Il n’a aucune allégeance, il déteste tous les dirigeants et toutes les îles. Sans exceptions. Il trouve Calléis trop naïve, Haptos trop dangereuse, Anthos trop hautaine, Kopadia trop hippie, Adamantia trop froide. Eight est fermé d’esprit, il voyagera s’il en a besoin, mais il n’en voit pas l’intérêt. Il se fout des autres îles, tant qu’on lui fout la paix.

Le cœur aussi froid que les neiges Adamantoises, Eight déteste tout le monde.
Pourtant, derrière l’épais mur glacial de haine et de rage qu’il s’est créé, Eight est surtout seul. Et malgré tout ce qu’il dira, malgré tout ce qu’il fera - cette solitude lui a toujours pesé plus qu’il ne l’avouera.
Eight est jaloux - jaloux de tous. Jaloux de son frère, ce génie, jaloux de sa sœur, cette icône, jaloux de ces stupides gens au sourire béats, jaloux de cette plèbe à la vie bien trop belle. Jaloux de tout ce monde qu’il voit - mais aux yeux de qui il est invisible.
Eight veut de l’attention. Il n’en a jamais eu. Comment ça se fait, qu’il n’en ait jamais eu ? Ce n’est pas juste. Pourquoi c’est elle ?
Pourquoi lui a-t-il des amis ?

Pourquoi t’as personne, toi, Eight ? Hein ?

Cette solitude qui gronde, qui croît - et ce, depuis son enfance.
Eight pensait qu’il y avait une personne qui le comprenait - une personne qui ne l’aurait jamais laissé, qui ne lui aurait jamais tourné le dos, une personne qui lui aurait toujours pris la main. Qui l’aurait accompagné dans ce monde - qui l’aurait toujours vu, qui aurait brillé avec lui - et l’aurait fait briller.
Mais non. Non.
Il avait fallu que la deuxième pièce du puzzle soit celle qui brille le plus. Il avait fallu que lui, lui, soit une étoile - éteignant l’éclat de Eight.
Il avait fallu qu’il soit différent.
Eight s’est senti trahi. Eight s’est senti seul. Abandonné par la seule personne qu’il n’imaginait jamais voir lui lâcher la main.
Il n’a pas supporté - ne supporte pas, encore, aujourd’hui.
Eight est haineux. Haineux envers son frère, haineux envers sa sœur - haineux envers le monde.
~~(plus que tout, il est haineux envers lui-même).~~
Eight est comme un sale gosse qui n’a pas grandi. Capricieux, moqueur, gâté - il a tant de haine que le malheur des autres le feront rire. Il a tant de haine qu’il ne sait plus ce que c’est, l’amour.
Il en a peur. Peur d’être effacé, invisible - absorbé à nouveau.

Eight veut être vu - il a besoin d’attention. Il s’en nourrit comme un trou noir se nourrit de lumière. Qu’on le regarde, qu’on lui fasse des éloges - qu’on lui apporte ce qu’il n’a jamais eu.
Eight n’a pas confiance en lui - mais il le cache derrière un surplus de confiance. Il le cache derrière cette haine constante. Derrière ces moqueries incessantes. Il a scellé ses sentiments - la peur, la joie, la tristesse - et maintenant, seules la haine et l’envie l’anime.
Eight ne sait pas communiquer. Après tout, il n’a jamais vraiment eu de personnes avec qui communiquer - malgré son travail, mais c’est Orion. Orion est une image, Orion est une idée. Orion est, peut-être, le lui oublié.
Eight, lui, n’assume rien. Il n’assume pas ses côtés humains, il n’assume pas ce qu’il aime. Il ne sait pas s’exprimer, et ne comprend pas les autres. Alors, il dit un mot de travers, puis un autre, et un autre - ça amène à des malentendus, et au lieu de s’excuser, Eight se frustre, parce que c’est pas sa faute, on ne lui a jamais appris, on ne l’a jamais compris.
Eight est seul. Incompris, sans comprendre les autres. Invisible, à défaut de tout faire pour être vu.
Est-ce lui qui a rejeté le monde en premier, ou les autres qui l’ont isolé ?

❆❆❆

Orion est une image. Du moins, c’est ce que Eight se dit. Au fond, peut-être qu’Orion est plus proche de ses véritables sentiments qu’il ne veut le laisser paraître.
Orion est… Plus doux·ce. Un peu, seulement - parce que ça reste la même personne. Mais Orion n’est pas aussi haineux·se - car sa haine s’efface quand el est en live, elle s’efface aux discussions, aux jeux, au reste. Orion est vu·e, Orion a de l’attention. Alors pourquoi serait-el jaloux·se ? Orion n’est pas seul·e. Orion a des milliers d’yeux rivés sur el. Certes, Orion est moqueur·se, ironique - un peu hautain·e et cynique. Mais contrairement à Eight, ce n’est jamais méchant. Ou jamais trop. Parce qu’Orion apprécie qu’on lia regarde, el apprécie être aimé·e. C’est un peu toujours à la légère - Orion lâche des vacheries, el rit fort, et tout comme Eight, el ne sait pas entièrement communiquer. Mais Orion est la partie que Eight a toujours tassée, alors quand il devient el, il n’a plus besoin de se terrer. Il assume.
Orion est tout ce que Eight cache. El est tout ce que Eight n’a jamais voulu avouer, jamais voulu montrer, jamais voulu accepter.
Orion n’est pas seul·e. El brille.
Et c’est précisément pour ça que Eight lia déteste, au fond.

Seul

Haineux

Jaloux

Inconfiant

Moqueur

Nous avons tous au fond du coeur... Un voyage à accomplir

Il n’y avait qu’elle. Depuis le début, ça n’avait été qu’elle, et seulement elle.
Il n’y avait qu’elle dans la lumière - qu’elle sur qui les yeux étaient rivés. Elle était l’étoile de la famille, elle brillait tellement que vos lumières n’étaient plus visibles. Tout ça, parce qu'elle était là avant.
C’était à cause d’elle. Qu’on ne vous voyait pas. Parce qu’elle était prodige.
Mais c’était aussi à cause de votre mère - qui ne vous regardait même pas. Parce qu’elle voulait une fille, rien qu’une fille.
Et à cause de votre père, qui n’était même pas là.
Tu les détestais tous, car vous étiez seuls - invisibles. Tu les détestais tous, car ils vous regardaient comme si vous étiez des accidents - parce que c’est ce que vous étiez, à leurs yeux. Mais au moins, vous vous aviez l’un et l’autre - pour vous tenir par la main, et vous guider dans le noir. Pour toujours, parce que vous aviez ce lien spécial - parce que vous étiez né pour ne jamais vous séparer.
Ou du moins, c’est ce que tu pensais.

☆☆☆

Ton frère avait toujours été différent. Mais c’était ton frère, ton jumeau, ton reflet. Ça ne t’importait pas, à l’époque. Tu défiais du regard ceux qui osaient s’en prendre à lui - quitte à ne pas être vu par les autres. Parce que lui, au moins, il te voyait. Il était le seul qui te regarderait toujours. Tu ne savais pas pour lui, mais à tes yeux - à l’époque - il était ton étoile. Il était les seuls yeux qui importaient. Et certes, tu faisais tout pour qu’on te voie, à l’école - tu faisais tout pour avoir l’attention que tu n’avais pas.
Mais jamais, jamais au détriment de ton frère. Ça te rendait furieux, qu’on s’en prenne à lui - à ton reflet, ta lumière - alors c’est toi qui réagissais. C’est toi qui répliquais, toi qui criait à ces bourreaux qu’ils étaient stupides, toi qui leur balançait des trousses, des sacs, des chaussures même. Qu’ils restent loin de ton étoile s’ils ne savent pas l’apprécier. Tu voulais être vu, mais vous étiez mieux à deux.

C’est ce que tu pensais.

C’est lui qu’on remarque. Lui qu’on regarde. Toi, t’es là, à défendre sa lumière - mais on ne te voit pas. On ne t’as jamais vu. Tu es invisible. Pourtant, tu essayes - tu essayes d’être vu, quand tu vois que l’attention dérive. Tu parles, tu tombes, tu dis des choses pour qu’on te regarde, tu jettes des choses pour que les yeux se tournent vers toi.
Mais c’est lui qu’on regarde. C’est lui qui intéresse. Et tu comprends pas. Tu comprends pas, parce que vous êtes pareils, semblables - non ? Alors pourquoi c’est lui qu’on devrait regarder, et pas toi ?
Les questions se posent, les questions tournent - et pendant ce temps, tu continues à espérer que tu peux encore briller. Qu’il peut encore te regarder.
⸢Regarde-moi.⸥
Une supplique silencieuse, un supplice jusqu’à tes neuf ans. Jusqu’à que tu aies la réponse.
C’est simplement parce qu’il brille encore plus. Parce qu’il est supérieur - ce n’est pas une étoile, mais une supernova.
Et soudain, tout le monde se met à voir sa lumière. Tout le monde se met à chanter ses louanges.
Tout le monde le voit lui. Mais on ne te voit pas toi.
Toi, t’es invisible. Encore. Toujours.
Et ça te frustre. Tu te sens trahi, abandonné. Parce que face à une lumière si grande, tu ne peux être qu’une ombre.
Parce que tu pensais qu’il était le seul - qu’il serait le seul - à toujours te voir, à toujours te guider.
Mais t’étais seul. Invisible. Dans le noir.
Abandonné par ton propre reflet.

T’as essayé.
T’as essayé d’être vu.
T’as parlé fort, t’as jeté des trucs, t’as répondu aux adultes, t’as insulté les autres, tu t’es pris des murs - volontairement -, t’es tombé - volontairement -, t’as grimpé à un arbre, tu t’es peinturé le visage, t’as mis des habits éclatants. Mais rien - il n’y avait que lui qu’on regardait.
C’est comme si tu n’existais pas. T’avais toute cette angoisse, toute cette détresse - mais personne ne le voyait.
Pas même lui. Et c’est là que t’as compris - que t’as compris sa trahison, son abandon.
Alors t’as arrêté. T’as arrêté de le regarder. Parce qu’il brillait trop fort pour toi, il brillait trop fort pour tes yeux, ton existence.
Tu t’es éloigné, t’as coupé les liens - ou plutôt, t’as brulé ceux qu’il avait déjà scindés à tes yeux. Parce qu’il avait trahi ta confiance. Et à partir de ce jour, t’as commencé à bouillonner - t’avais toujours cette partie, en toi, qui brûlait. Qui étouffait. Qui avait besoin de cracher son venin.
Tu voulais être vu. Et tous les moyens étaient bons, maintenant. Il y avait toujours ces bourreaux qui s’en prenaient à ton frère. Mais tu t’en fichais, maintenant. (Tu t’en fichais, pas vrai ?)
Tu ne t’interposais plus. Tu ne le défendais plus. Sa lumière pouvait tout régler, non ?
(Et pourtant, tu brulais - tu te sentais brûler, piquer, ce goût âcre dans la bouche, cette sensation acide dans l’estomac).
Tu les provoquais, ces bourreaux. Tu les provoquais parce que t’avais besoin de cracher ta haine (et pas de l’aider). Tu les provoquais pour qu’ils te regardent (et pas pour le sauver). Tu les provoquais parce que ça te faisais du bien, et parce qu’ils tombaient toujours dans le piège, à riposter - et ça te faisais une excuse, une excuse pour être vu, et les insulter encore, leur jeter ce que t’avais sous la main - ce sourire carnassier aux lèvres (et pas pour le protéger).
Parce que t’étais vu. Et que c’était toi que tu défendais - personne d’autre.
Alors au final, c’était toi qui gagnais.
⸢ Mais je t’en prie, regarde-moi.⸥

☆☆☆

Depuis ce jour, t’es haineux. Envieux.
Tu bouillonnes de l’intérieur, tu bouillonnes constamment. T’as cette constante envie de cracher ton venin sur les autres, de leur cracher cet acide qui te brûle l’estomac - en vain, car t’a beau leur cracher ce poison au visage, il continue de te consumer, encore et encore.
Tu les détestes tous - tu les détestes tous parce qu’ils ne t’ont jamais vus, ils ne t’ont même jamais regardés, trop occupés à regarder ton frère ou ta sœur. Tu les détestes tous, mais tu les feras payer, en brillant tellement qu’ils regretteront de ne t’avoir jamais vu, en brillant tellement qu’ils viendront ramper à tes pieds, chanter tes louanges - ils t’idolâtreront. Et toi ?
Tu leur marcheras dessus. Tu t’assiéras sur eux. Tu leur cracheras au visage. Parce qu’ils t’ont tous trahis. Parce que tu les détestes, tous.
Ils regretteront. Mais ce sera trop tard - tu seras déjà leur étoile.

Mais pour l’instant, t’es seul. Tu ne crois plus en toi. Tu ne crois plus en ta lumière - parce que personne ne la voit, ta lumière. Et t’es envieux, envieux de la lumière des autres, envieux de celle de ton frère. Mais tu peux pas montrer ça, tu peux pas montrer ta faiblesse. Qui va te voir briller, si toi-même, tu n’as pas confiance en ta lumière ?
Alors, tu fais semblant - tu fais semblant de croire en ta lumière. Grands sourires, regard hautain, supérieurs. Si tu te montre brillant, si tu te montres confiant - les autres le verront aussi, non ?

☆☆☆

Tu grandis. Tu grandis en détestant tout, en détestant le monde - tu t’isoles toi-même, n’arrivant pas à te faire ne serait-ce qu’un seul ami. Car tu n’arrive pas à communiquer, t’arrives même pas à aimer - tu sais juste comment cracher sur les autres, comment leur exploser au visage, comment haïr. Tu sais juste tout faire pour attirer les regards sur toi - et ils s’attirent un peu, au final - mais pas pour les bonnes raisons. Tant qu’on te regarde, ce n’est pas si grave.
Tu ne sais pas aimer. Tu en as peur, aussi.

La seule chose que tu as réussi à aimer, ça n’a pas été avant trois ans plus tard. Parce que pendant trois ans, t’étais trop aveuglé par la haine, trop aveuglé par la jalousie, trop essoufflé par cette sensation acide au creux de ton torse pour faire autre chose que déverser ta haine pour te soulager.

C’était un soir, après une énième dispute, un énième dîner finit sur des vaisselles brisées. Bouillonnant, fulminant - t’étais sorti en claquant la porte, parce que tu brûlais de l’intérieur, tu étouffais - cette sensation acide te dévorant les entrailles. T’avais besoin de respirer.
Même si c’était l’air froid d’Adamantia - c’était toujours mieux que ce brasier qui t’animait, que cette lave acide qui te consumait les entrailles. T’en avais besoin, de cette fraîcheur - pour étouffer les flammes de rage qui grandissaient en toi.
Ce soir-là, tu arpentais les rues voisines pour te calmer, t’arrivais jamais à calmer la fournaise au creux de ton torse. Mais c’est là que tu l’avais vu.
La lumière.
T’avais levé les yeux vers le ciel - dégagé, pour une fois - et t’avais vu ce manteau aux innombrables joyaux. Et instantanément, elle était partie, cette rage.
Instantanément, il s’était éteint, ce feu.
Instantanément, tu respirais à nouveau. Parce que t’avais compris.
T’avais compris que la seule chose que l’on regardait sans arrêt étaient les étoiles. Mais sur l’instant, ça ne t’importait pas de briller autant qu’elles. Non - t’avais compris que pendant toutes ces années où tu t’étais cru seul, les étoile, elles, n’avaient pas bougé. Elles avaient continué de veiller sur toi, d’illuminer ton chaos - de te guider dans le noir.
Le ciel était le seul à ne t’avoir jamais abandonné - ses milliards d’yeux rivés sur toi.
Et pour la première fois depuis trois ans, t’avais versé des larmes - de véritables larmes sincères. Parce que le spectacle était beau, et que t’avais au moins une chose dans ce monde en laquelle tu pouvais encore faire confiance.
Tu n’étais plus seul.

Les jours suivants, tu avais commencé à te renseigner sur les étoiles. Livres, encyclopédies, vidéos - tout était bon pour en savoir plus. T’avais appris que la plupart des étoiles qu’on voyait dans le ciel étaient déjà mortes, mais au lieu de te décourager, ça ne fit que prouver ton point.
Ça ne fit que prouver que même dans la mort, les étoiles continueraient de briller pour te guider - et ne te laisseraient jamais seul.

☆☆☆

Les années passèrent - et tu détestais toujours autant le monde. Mais tu n’avais plus autant besoin du regard des autres, parce que tu avais celui des astres - et en un sens, ça te suffisait. Tu passais ton temps libre à en apprendre plus, à en découvrir plus - ça t’intéressait, ça te calmait. Ça t’avait donné un but, un chemin à suivre.
Enfin, c’est ce que tu pensais.

T’avais seize ans. C’était encore un de ces dîners - ceux que tu détestais, où il fallait absolument assister et faire semblant d’être une vraie famille. Une de ces rares fois où ton père était présent et qu’il fallait manger tous ensemble autour d’une table et discuter, donner l’impression que vos liens n’étaient pas déjà brisés. Tu ne sais plus exactement comment, mais la discussion avait dévié, et t’avais parlé des étoiles - t’avais dit à quel point elles étaient intéressantes, remplies d’histoire, et que tu voulais continuer d’étudier dedans, d’une manière ou d’une autre.
Et il avait ricané. Il t’avait pris de haut, s’était moqué de toi, de tes lumières.
La situation avait dégénéré, les embrouilles avaient commencé. Le ton qui hausse, la tension qui monte, la voix qui tremble, les couverts jetés. Et puis, ces mots.

“ Tu n’y arriveras jamais. ”

Ils t’avaient brisé. Parce que même avec toutes les étoiles du monde, que pouvais-tu faire face aux mots d’une supernova ?
Tu brûlais, tu t’effritais, tu étouffais. Toute ta lumière, tout ton salut - détruit en une poignée de mots.
Mais t’avais éclaté de rire. Au lieu de pleurer, t’avais ri, gorge déployée. T’avais ri, mais d’un rire hargneux, moqueur. Et t’avais dit que c’était stupide, les étoiles, de toute façon. Que c’était débile comme sujet, que bien évidemment un truc aussi niais ne t’intéressait pas. Tu faisais juste une mauvaise blague.
T’avais rejeté cette partie de toi comme une maladie. T’avais fait comme si ça ne t’atteignait pas - et pourtant, ton cœur savait, il pleurait, il pleurait l’abandon de son seul salut, et toi, tu brûlais, t’avais juste envie de laisser toute la rage te consumer et brûler cette foutue maison, cette foutue famille.
Mais tu te contenais, et rejetais ça sur les autres.

Tu étais haineux - revenu à cette haine constante, à ce feu éternel. Le soir-même de cette dispute, t’étais retourné dans ta chambre en fulminant, et t’avais cassé tes jumelles en les balançant à l’autre bout de la salle, puis t’avais jeté tes livres d’astronomie à travers la pièce. Pourquoi, pourquoi t’y avais pas le droit ? Pourquoi ne pouvais-tu pas y arriver ? Pourquoi elle, elle pouvait avoir le monde, et lui, il pouvait tout faire - mais toi, toi, tu n'avais rien ?
C’était injuste, injuste, et tu ne pouvais même pas hurler cette rage, car ça lui montrerait seulement qu’il avait gagné, qu’il avait raison - alors, tu te contentais juste de tout casser, de briser le futur dont tu rêvais tant, et de l’abandonner.
Parce qu’au final, tu n’étais qu’un grain de poussière perdu au milieu des astres.

À peine quelques jours plus tard, on t’avait appelé par son nom - et t’avais vrillé.
T’avais éclaté - de fureur, de hargne - t’avais explosé, laissant flamber le brasier qui t’habitait.
Et puis, blanc.
L’instant d’après, tu tenais une paire de ciseaux dans une main, et une mèche de cheveux dans l’autre. Ton corps avait agi de lui-même, fatigué d’être comparé, fatigué d’être invisible. Tu voulais être unique.
Alors, le regard féroce, tu l’avais continué - et t’avais coupé net, droit, une autre mèche, pour égaliser. Ainsi, plus jamais on ne vous confondra. Plus jamais on ne vous comparera. Ils seront obligés de te voir pour ton originalité.
Ta colère avait tant enflé, t’avais décidé de le haïr. De le détester. De ne plus l’envier.
~~(Au fond, tu t’en persuadais juste.)~~

☆☆☆

Les années ont continué de passer, et ta haine a continué à croître. Et pendant tout ce temps, tu ne réussis pas à te faire ne serait-ce que l’ombre d’un ami. Tu étais trop isolé, trop aigre, trop mauvais. Mais les yeux étaient tournés vers toi - et ça te faisais du bien, de cracher ton venin, ça gonflait ta confiance et relâchait ta peine. Alors pourquoi arrêterais-tu ?
Ce qui te mettait hors de toi, cependant - c’est pendant que toi, tu étais seul, ton frère, lui, se faisait un malin plaisir de s’entourer d’amis tous aussi stupides les uns que les autres. Azalée, Rio, Amadeus, Zamas, Milo. Leurs noms sonnent comme la peste dans ta bouche - tu les détestais, tu les détestais tous. Mais tu le détestais, lui, encore plus. Parce qu’il te regardait de haut, avec ses adorateurs débiles - parce qu’il avait réussi, dans un domaine dans lequel tu n’excellais point. Encore.
Il avait pris un malin plaisir à t’abandonner, pour ensuite se moquer de ta solitude, accompagné et entouré.
⸢ Qu’ils disparaissent - je veux qu’ils disparaissent. ⸥ ~~(Je veux les rejoindre.)~~

~~(Et ces mots, ces pensées, tu les as regrettés.)~~

☆☆☆

Au final, quand tu as l’âge, tu quittes la maison familiale. Parce que ça te pèse trop, cette famille. Ça cultive ta haine, attise ton feu.
Parce que tu supportes pas d’être dans une maison avec des gens qui ne te voient pas. Avec des gens qui t’ignorent sans arrêt. Avec des gens qui te détestent.
Alors tu pars, tu t’installes quelque part d’autre à Adamantia. C’est plus calme, et plus simple pour toi - car tu t’es trouvé un boulot, en ligne, où les gens te regardent. Un boulot, en ligne, où t’as juste besoin de faire des vidéos, de réagir à d’autres, de faire des jeux, de discuter, et parfois de prêter ta voix. Et les gens ont les yeux rivés sur toi, sur ta personnalité.
~~Et pourtant, tu n’assumes pas.~~
Mais les gens te regardent. C’est ce que tu voulais, non ?

Tu aurais pu en profiter pour partir autre part, visiter une autre région tant qu’à faire… Mais quelque chose te retenais ici. Peut-être était-ce le ciel Adamantois. Peut-être étaient-ce les étoiles - cette passion que tu jurais oubliée, mais dont les livres entassés criaient le contraire. Car t’avais beau dire que c’était stupide, ton cœur n’y croyait pas.
T’avais beau dire que c’était stupide, tu avais tout de même ces jumelles, cet astrographe, rangés dans un coin de la pièce.
T’avais beau dire que c’était stupide… Tu avais aménagé ton toit pour y observer le ciel malgré le froid.
Car au final, peut-être que tu t’y accrochais encore.
Peut-être que t’avais espoir.
~~Espoir de revoir cette lumière… Ta lumière.~~

Résumé plus court:

Oh... There are humans behind the screens?

Tu n'as rien à nous raconter?

Plop plop moi c'est Milo, vous me connaissez, la catastrophe ambulante, j'suis trop contente de vous présenter Eight j'espère vous l'aimerez.

Sinon le chocolat chaud c'est la vie, si vous voulez m'acheter offrez-moi du chocolat et je suis à vous.

Surnom/Pseudo :San ou Milo
Pronom(s) : Elle/se questionne
Parrain : C'était Rez !
Comment nous as-tu découvert? : Alors Rez m'a fait venir et Judi m'a ~~soudoyée~~ convaincue pour que je fasse un DC :3

Mar 29 Nov 2022 - 10:02

COUCOU JUMEAU !
T'es beau, t'es parfait Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 2675462704

Mer 30 Nov 2022 - 8:52

Vous avez un problème dans cette famille à balancer des objets... Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 560633765

Rebienvenue avec ce petit gremlin, il a beau être une boule de colère et de haine je le trouve attachant Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 2675462704

24/06/2022

Blblblbl rebienvenue ! Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 3284768608

Je sais plus si j'avais lu la prez de Milo mais je viens de me rendre compte que j'aime beaucoup ta plume, et Eight je l'aime wow. Hâte de le voir véritablement en action !
Bon courage pour choisir le starter ! **

29/11/2022

Merci à tous pour votre accueil blblbl vous êtes adorables ! Contente de voir que Eight plaît et que ma plume aussi Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 2764

Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 2764

ET T'ES ENCORE PLUS BEAU SEVEN Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 2675462704

Mer 30 Nov 2022 - 18:41

Sache que je veux faire un calin à Eight il le mérite T^T
J'ai adoré découvrir l'histoire en entière, j'ai hâte de voir le starter que tu choisiras quand ils arriveront <3

Et tellement curieuse de ses possibles évolution a Be Wild ~

20/03/2022

La première chose que j'ai été en mesure de me dire en lisant cette fiche c'est : « est-ce que t'es sûre que tu joues Milo ? »
C'est tellement violemment différent du personnage que tu nous présentes depuis six mois que noctawhut d'accord ?

Différent, oui, mais pas mauvais. Définitivement pas. C'est un personnage complexe, et je comprends ce que tu entendais par là quand tu écrivaais son caractère, avec tes exclamations ponctuelles sur le général. Complexe, mais finement mené. Quand on vit dans l'ombre, évidemment qu'on veut briller, n'est-ce pas ?
évidemment que je veux briller comme l'or, j'ai passé ma vie invisible comme l'air
pourquoi vous voulez m'aimer maintenant ? il est trop tard pour m'aimer maintenant

Il ne déteste pas les gens. J'en suis profondément convaincu.e. La solitude et la jalousie se mêlent pour faire un combo empoisonné, mais Eight, je pense qu'à défaut de détester les gens, déteste en fait le fait de ne pas avoir de certitudes. Enfin, c'est ton personnage, je ne peux rien dire, mais c'est l'impression qui se dégage : il déteste l'incertitude, cette facilité d'être ignoré, abandonné, pas écouté. Tu sais, ce qu'on peut jamais prévoir, parce que damn qu'il a de la colère, and he should parce que ce qu'il a vécu, cet isolement, personne ne le mérite. À l'image de Seven.

Ils pourraient tant se comprendre si seulement ils essayaient. S'ils laissaient de côté leur colère, leur ego, leur fierté. Tout ce qui les sépare. Tant de choses les relie.
Parce que tous deux ne sont que le résultat de leur enfance, de leurs expériences, des rejets et de l'ignorance. Les éclats d'une mère qui n'a pas été capable de les voir, les éclats d'une mésentente, d'une perte, de ce qui les compose.

Eight me fend le coeur. Parce qu'il a besoin qu'on le prennee par la main et qu'on le guide, mais évidemment, il ne se laisserait pas faire. Mais peut-être, peut-être qu'Orion pourrait déteindre sur lui, à force de lea personnifier, t'en penses quoi ? Je me permets d'espérer. Je veux les voir heureux, je veux les voir avec une lumière. Les étoiles les plus brillantes sont celles mortes, alors, pas besoin d'être une étoile, pas vrai ?
Je veux le voir trouver quelqu'un, pas un romantic interest, juste quelqu'un, le voir apprendre à comprendre ses capacités et accepter ses failles, le voir avancer... Mais on aime tant torturer nos personnages que je doute que ça arrive de sitôt.

Je sais que tu as eu peur de ne pas savoir le jouer correctement, je ne peux pas dire pour les rps, mais la fiche dégage cette émotion si dure d'un « éloigne-toi plus près » ce besoin ardent d'être compris et accompagné, mais cette peur encore plus violente de se retrouver dans une situation qu'il ne pourrait pas supporter : être seul à nouveau. C'est une boule de colère parce que c'est tout ce qu'il a appris
une boule de colère parce que c'est tout ce qui lui permet de survivre
comme le feu d'une chandelle quand il n'y a plus rien, c'est ce qui lui permet d'être, et si elle s'éteint, elle ne peut plus se rallumer.

C'est une fiche lourde en émotions, clairement. Mais bien écrit et si bien rythmé. Seven et toi avez régalé ma soirée alors que je relisais pour poster.

.... Je te laisse à tes starters/dies
et je vais prendre mon bain

Bien le bonjour !
Il est temps de choisir ton starter...
Osselait > N’entends tu pas ses cris ? Sa solitude le ronge chaque jour. Il n’a plus de famille, il a personne. Toi qui a choisi la solitude par choix, lui ne l’a pas choisi. Tout le monde le regarde pleurer, mais personne n’agit. Bien qu’en fait, tu n’as choisi la solitude que par simplicité, non? Regarde le, n’est-il pas pathétique à chercher de l’attention ? Tu vis très bien seul, alors pourquoi le prendre lui ? Car vous êtes semblable ? Car il te comprend ? Il te regarde le crâne de sa défunte mère sur la tête, il te regarde comme la possible mère/père qu’il pourrait avoir. Vas-tu choisir pour lui ? Ou vas-tu passer ton chemin en lui crachant dessus comme sur le reste du monde?

Medhyèna > Il grogne, il attaque, il veut se montrer plus fort que tout le monde. Il est dit que ce pokémon poursuit sa proie jusqu’à l’épuisement. Tu étais sa proie, puis il a vu la rage que tu as. Maintenant, tu es son pote, son modèle. Il est comme toi, hargneux, en colère car il est petit et faible. Mais à côté de toi, il se sent fort ! Puissant ! Alors il lève le haut de sa truffe, il va chercher la manette que tu balances par la fenêtre pour te montrer qu’il est fort ! Regarde le bouger sa queue, fier d’être à tes côtés. Il regarde aussi le ciel comme toi avec des étoiles dans les yeux, réalisant que le monde est si vaste. Ou juste il doit se dire que le ciel est plein de croquettes et qu’il espère tu lui en raménera.

Otaquin > Certains ne savent briller que sous l'oeil des caméras. Les artistes ; les célébrités.
Ceux qui façonnent la culture de demain, qui inscrivent leur nom dans les souvenirs qu'on gardera des siècles passés... Parfois, on naît trop exceptionnel pour resté cacher, pour se repaître de l'insignifiance. Otaquin en sait quelque chose. Son existence s'embrase lorsqu'il est exposé au feu des projecteurs, lorsqu'on le voit pour ce qu'il est réellement : un être exceptionnel. Un peu comme toi, n'est-ce pas ? Tu es le divertissement des jeunes d'aujourd'hui, des adultes de demain... Et surtout, les codes, tu les brises sans le moindre embarras. Femme ou homme, quelle différence ? On est qui et, surtout, ce que l'on veut être et ça, c'est quelque chose qu'Oratoria a parfaitement assimilé ; tout comme toi.

Funécire > On dit que la colère, souvent, ne mène à rien de bon, que prendre un bon repas chaud est bien plus intéressant qu'y céder. Pour le repas, faudra pas trop compter sur lui... quant à la chaleur... je suis quasiment certain que sa flamme est spectrale. Tout ça pour dire, il n'est pas le sous chef le plus doué de la cuisine, mais il est très certainement un pokémon assez réconfortant. Le fait-il pour des bonnes raisons ? Pas sur ; d'habitude, il aime guider les gens, pour voler leur énergie & les amener à le rejoindre, dans le trépas. Mais bon, toi, tu fais bien des streams alors que tu détestes quasiment la terre entière, donc qui serais-tu pour le juger ?
Au delà des ressemblances qui vous incombent, dans les ténèbres, bien que tu aurais du mal à les admettre, sa puissance et sa versatilité en font un allié qui ne saura t'apporter que de belles choses. De la puissance pour réaliser tes projets, de la cuteness si le public devait le croiser un jour & le trépas, sur un plateau, pour qui viendrait te gêner.

Loupio > Devant la scène, devant tous les yeux, c'est comme ça qu'il faut briller, mais est-ce réellement le cas ? Il est là pour t'apprendre, là pour te faire comprendre, il a réussi ce que tu penses impossible : briller dans les tréfonds des abysses, dans les noirceurs les plus lourdes et puissantes. Si lui le peut, pourquoi n'en serais-tu pas capable ? Il sera ta lumière, il sera ton guide, il te montrera le chemin vers la reconnaissance de tes capacités, de ta valeur, aussi lumineux que tu peux être obscur. Parce qu'au final, on a pas besoin d'être vu pour être une étoile, pour illuminer les alentours. Il suffit de réellement le désirer et y croire.

03/11/2021

Le membre 'Alice de Fiercastel' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'[CHROMA] 1/50' :
Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) O4viipE

29/11/2022

Alors je-

Je te l'ai déjà dit sur discord, mais... Ce message d'amour, il me... remplit de bonheur, vraiment. Les mots sont si doux, et pour moi qui appréhendait vraiment les retours sur Eight je.... Oui je suis très émotive voilà ;;

Tu as si bien cerné le personnage, j'en reviens pas. C'est moi qui ait écrit le personnage, oui- mais t'as tellement cerné les petits points que j'ai sous-entendus, que j'ai à peine souligné, que j'ai gardé au chaud dans ma tête... J'en viens à me demander si tu as lu la fiche ou si tu es directement venu.e dans mon cerveau jdksjdks.

Bref mille merci je saurais jamais exprimer tout ce que ton message me fait mais voilà Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 2675462704

Vraiment contente que tu aies apprécié Eight (& Seven) !

Les starters sont tous OUF. Vraiment, vous avez fait un taff gigantesque. Même les descriptions cernent toutes Eight avec tant de précision, je ?? Vous êtes tous parfait.es, je vous aime avec tant d'amour Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 1f62d

Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 1f62d

Comme vous avez si bien travaillé je me permet de faire un petit commentaire sur chaque, voilà.

Osselait > Il me... Il me brise le cœur, vraiment. J'ai envie de lui faire un big hug, mais... Mais Eight fait pas de hug. Ils sont si semblables, et j'ai vraiment vraiment envie d'en prendre un sur Eight. Mais je pense que pour l'instant, s'il voit un Pokémon qui lui ressemble autant... Ça va le frustrer et il va probablement lui faire mal pauvre bout. ;; Mais dès que je peux je vais le chercher parce que oof, il sera important pour le développement de Eight j'ai l'impression.

Medhyèna > Je... Surkiffe leur dynamique ensemble. Vraiment, je les vois PARFAITEMENT agir ensembles, ils sont parfaits. Eight et son Medhyèna qui se baladent tout fiers dans les rues ? Je veux voir ça. La partie sur les croquettes m'a tuée d'ailleurs dskskdjss. En vrai, s'il avait pas été à Adamantia, je l'aurais pris sans hésiter. Mais du coup, je vais passer… (Pour aller le chercher dès que je suis validée, oui.)

Otaquin > Alors j'avais pris Otaquin sur S/M donc, je. Merci. I love you. J'adore ce Pokémon un peu quirky et weird que les autres ont un peu laissé sur le côté, et j'adore son évolution finale blblbl. Et là aussi vous avez exactement bien cerné Eight, avec le côté un peu who cares ? de s'assumer comme il le souhaite. Grosse hésitation là aussi, je pense juste qu'un peu comme Osselait, il servira plus à son développement pour après... Mais j'adore vraiment genre, vous avez parfaitement bien cerné Eight j'ai envie de pleurer.

Funécire > Grosse hésitation là aussi blblblblb comment vous faites pour êtres aussi parfait.es ? J'adore leur image ensemble là aussi, je sais pas je. J'imagine parfaitement Eight la nuit qui observe les étoiles avec son petit Funécire sur les genoux. 100% Quand y'en a un qui sera dispo je, go.

Loupio > Je pensais pas que je m'arrêterais sur ce choix au final, mais… Il est vraiment parfait. Il incarne vraiment la lumière que recherche Eight, celle qui va le guider, celle dont il a le plus besoin. Il incarne la pointe de douceur qui lui manque, qui va petit à petit essayer de gagner son cœur. Il est la lumière qui va le regarder, et je sais pas, le fait qu'il ait deux petites antennes brillantes ça m'a fait penser à Eight et son frère... Deux petites étoiles qui s'éloignent, mais au fond, qui sont toujours attachées. Je sais pas j'aime beaucoup l'image voilà, c'est pour ça que mon choix s'arrête sur lui.

Tous les starters sont GENIAUX et vous pouvez être sûr que j'irais les chercher et que Eight va finir avec une ménagerie, voilà, je le dis.

Merci encore pour votre temps et vos mots et tout blblbl. J'ai hâte de jouer Eight et de le faire grandir, de lui apprendre la vie, et de lui faire rencontrer une personne pour lui apprendre, comme tu dis - juste pour lui apprendre. Et ensuite, peut-être qu'il arrivera à gérer son soucis avec le monde ?
Bref bref, je vous remercierai jamais assez, je vous adore, et la fiche est finie Eating the light from the stars - Eight Parrish (FINI) 2675462704

20/03/2022

Aaaah la description m'a ému help.
Maintenant je vais lire l'histoire (je me l'étais gardée pour avoir quelque chose à lire) puis ensuite GENSHIN. T'as intérêt à être prête à spam des boss avec moi.

Je suis toujours autant happy de voir que nos starters plaisent et ofc LOUPIO. Aaah j'étais si proud. Alors que tu l'aies choisi omg.
Je veux lui dire qu'il reverra la lumière, parce qu'elle n'est jamais trop loin. Il est tellement brisé, mais comment lui reprocher ? Comment lui en vouloir, quand il n'a jamais été vu, jamais été entendu ? Quand tout lui a été repoussé, arraché ?

.... Quand même la personne qu'il voyait, son étoile s'est éteinte pour le laisser dans le noir ?
Comment lui reprocher, quand son étoile l'a descendue, lui a dit que sa passion était ridicule, et que Eight n'y arriverait jamais ? Comment ?

Il me fait mal. Tout comme Seven. Ils me font mal.

Tu connais la chanson, talent au choix sauf talent caché !

Félicitations Eight,
Tu es validé !
Te voilà à Lentis, prêt·e à braver les dangers et mystères qui se cachent à travers les hautes herbes... un rappel de faire attention à tes arrières, parce que tu ne sais jamais quelle surprise la nature peut te réserver. Pour bien débuter l'aventure, voici 10 Pokéball, 2 potions et 500P$.

N'oublie pas d'aller recenser ton avatar ni de poster ta T-Card, et n'hésite pas à venir poser tes questions et suggestions ici ou encore sur notre serveur Discord.

On espère que tu te plairas sur l'archipel, et que tu ne t'y perdras pas au travers de tes aventures into the wild ~

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